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Fiche disque de ...



Genesis - Jesus he knows me

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Titre : Jesus he knows me


Année : 1992


Auteurs compositeurs : Tony Banks - Phil Collins - Mike Rutherford


Pochette : Felicity Roma Bowers


Durée : 4 m 11 s


Label : Virgin


Référence : 36153



Présentation : Extrait de l'album "We can't dance". La chanson brocarde les télévangélistes américains.

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Paroles

You see the face on the TV screen
coming at you every Sunday
see that face on the billboard
that man is me

On the cover of the magazine
there's no question why I'm smiling
you buy a piece of paradise
you buy a piece of me

I'll get you everything you wanted
I'll get you everything you need
don't need to believe in hereafter
just believe in me

Cos Jesus he knows me
and he knows I'm right
I've been talking to Jesus all my life
oh yes he knows me
and he knows I'm right
and he's been telling me
everything is alright

I believe in the family
with my ever loving wife beside me
but she don't know about my girlfriend
or the man I met last night

Do you believe in God
cos that's what I'm selling
and if you wanna get to heaven
I'll see you right

You won't even have to leave your house
or get outta your chair
you don't even have to touch that dial
cos I'm everywhere

And Jesus he knows me
and he knows I'm right
I've been talking to Jesus all my life
oh yes he knows me
and he knows I'm right
well he's been telling me
everything's gonna be alright

Won't find me practising what I'm preaching
won't find me making no sacrifice
but I can get you a pocketful of miracles
if you promise to be good, try to be nice
God will take good care of you
just do as I say, don't do as I do

I'm counting my blessings,
I've found true happiness
cos I'm getting richer, day by day
you can find me in the phone book,
just call my toll free number
you can do it anyway you want
just do it right away

There'll be no doubt in your mind
you'll believe everything I'm saying
if you wanna get closer to him
get on your knees and start paying

Cos Jesus he knows me
and he knows I'm right
I've been talking to Jesus all my life
oh yes he knows me
and he knows I'm right
well he's been telling me
everything's gonna be alright, alright

Jesus he knows me
Jesus he knows me, you know…
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
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Commentaires

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1 commentaire
Flaming Youth Le 21/03/2022 à 20:58
Titre issu de We can't dance, avant-dernier album studio de Genesis (et dernier avec Phil Collins au chant et à la batterie) sur lequel on retrouve aussi "I can't dance" (dont une version alternative figure sur le single Jesus he knows me) et "No son of mine".

Le très amusant (et très coloré) clip:




En concert en 1992:




Outre Genesis, les télévangélistes ont aussi été évoqués en chansons (et avec beaucoup moins d'humour et plus de virulence) par Iron Maiden ("Holy Smoke", titre de 1990 qui attaque aussi le puritanisme et les autodafés de livres et disques jugés «diaboliques») et surtout Frank Zappa, avec plusieurs titres sortis entre 1988 et 1991 qui évoquent les scandales sexuels visant Jimmy Swaggart ou Jim Bakker (également condamné pour escroquerie et fraudes) dans plusieurs parodies d'anciennes chansons de Zappa comme "Lonseome cowboy Burt" qui devient "Lonesome cowboy Jim", ainsi que la candidature de Pat Robertson à la primaire républicaine en 1988, ce dernier étant le sujet de la chanson "Jesus thinks you're a jerk", un titre de 9 minutes qui clôture l'album Broadway the hard way et qui attaque l'évangéliste sur tous les bords, tant sur son passé de planqué (il a évité le combat en Corée grâce à son père, Absalom Robertson, qui était alors sénateur de l'état de Virginie) que sur son empire médiatique (confié à son fils Tim lorsqu'il s'est lancé dans sa campagne) et sur son programme conservateur et ce qui pourrait en découler si il venait à atteindre la présidence, Robertson n'étant pas avare d'attaques envers les autres religions (y compris certaines branches protestantes), le féminisme, les homosexuels, l'avortement…
Ce scénario ne sera (heureusement vu ce qui est promis) pas vérifié, Paterson abandonnant la primaire en route malgré des victoires dans les états de Washington, du Nevada, d'Alaska et d'Hawaii. La primaire se terminera par une nette victoire du vice-président, qui remportera ensuite la présidentielle en novembre.

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