Les cookies nous permettent de personnaliser le contenu du site, les annonces publicitaires et d'analyser notre trafic.
Nous partageons également des informations avec nos partenaires, de publicité ou d'analyse
mais aucune de vos données personnelles (e-mail, login).
Pas le temps de tout revoir
Pas le temps de s'inventer
Juste assez pour sentir la panique
Magique me gagner
Dans mon costard tout en nage
Je pénètre chez l'abbé
La terreur me guette
Quelle question va-t-il me poser ?
Quand d'un coup il se décide
Je faillis tourner de l'œil
Evidemment la partie que j'n'ai pas vue pourvu qu'il m'aide
Je n'ai qu'une seule envie
Tout laisser tomber
Cette idée est si belle
Et je suis si vidé
Mais cette envie est un rêve
C'est qu'il me le rappelle
Par le biais d'un long soupir
Lui faire savoir que j'n'en peux plus
Je réponds à tout hasard
Et son air devient hagard
Il me dit que soit il me donne le prix Nobel
Soit il me pète
C'est si facile de rire
De mes notions du cours
Je suppose qu'il suppose
Qu'il me pètera toujours
Ecrasé de la sorte
Je téléphone à ma mère
Je lui dis que c'est pas sûr
Y'a des repères (??) ne pas s'en faire
Je n'ai qu'une seule envie
Tout laisser tomber
Cette idée est si belle et je suis si vidé
ouh, ouh
Un trac fou
Dans c'traquenard
Ces cours-là
Sont très laids
Sois à l'aise
C'est le coup du (…) king cool
Un trac fou
Vous attrape
Tout est flou
C'est la traque
Sois à l'aise
C'est le coup du (…) king cool
Pas le temps de défaillir
Ni de s'mettre à gémir
Yep on aura beau le faire
De toute façon à quoi ça sert
Je n'ai qu'une seule envie..
Pas le temps de défailir
Ni de s'mettre à gémir
Yep on aura beau le faire
de toutes façons à quoi ça sert. (ad lib)
Un trac fou (ad lib)
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
Nous nous engageons à en retirer l'affichage en cas de demande de leur part.
Commentaires
Voir tous les commentaires
6 commentaires
Le Sapin SobreLe 06/09/2009 à 20:30
FrVi était un étudiant stressé, c'est pourquoi il nous a proposé cette examinée du tube de Philippe Lafontaine !
Gozette et GogoLe 09/09/2009 à 09:11
Voici les paroles : [merci !]
Ainsi que l'indique la pochette, il s'agit d'un extrait de la revue annuelle des étudiants ingénieurs, organisée par le C.I. (Cercle Industriel, càd cercle des étudiants ingénieurs civils de l'université de Louvain la Neuve en Belgique) depuis des temps immémoriaux à Louvain-la-Neuve et même avant à Leuven (à ce sujet, voir les commentaires ici). Spectacle complet avec nombreuses parodies de chansons, son titre contient chaque année des jeux de mots ou contrepèteries salaces : je me souviens que quand j'étais étudiant, nous attendions avec impatience l'apparition des affiches : c'était à qui décoderait le titre le premier (le racket ça rate, le combat souterrain menace les vies des générés, etc : vous pouvez découvrir la liste complète de ces titres ici). L'objectivité m'oblige d'avouer en tant qu'ancien membre d'un cercle gentiment concurrent, le Maphys, que nous n'avons jamais réussi à organiser un spectacle qui arrive à la cheville de celui-là ! Par ailleurs, je ne sais pas si le verbe "péter" est utilisé dans cette acception en France ; le contexte permet sans doute de le comprendre, il signifie "recaler" (on dit aussi : "moffler"). Précisons encore que l'université de Louvain est une université catholique, d'où la présence de cet abbé dans le corps professoral (à moins qu'il s'agisse d'un M. Labbé, ou encore d'un sobriquet, car je ne suis pas certain qu'il reste encore beaucoup d'abbés parmi les profs).
Robin FuséeLe 10/09/2009 à 16:44
C'est meilleur que la version d'origine. Pas difficile, comme je trouve l'œuvre de Philippe Lafontaine, et Cœur de Loup en particulier, profondément bidesque.
patwatLe 04/11/2011 à 16:13
@Gozette et Gogo:
Bien vu, il s'agissait en fait de Monsieur Labbé, un prof en Electricité si mes souvenirs sont bons
Fli-FliLe 06/12/2020 à 02:43
Puisque le lien vers le Cercle Industriel n'est plus dispo, je ne peux m'empêcher d'ajouter ce titre de la revue de 1989? je pense: « Le sextant du mousse et le compas »…
SoffLe 29/04/2022 à 17:39
Peut-être "Rien dire au père" au lieu de "y'a des repères"?…soit en parlant de l'examinateur (garder le silence lors de l'examen, et advienne que pourra), soit par opposition à sa mère qu'il appelle (ne pas dire au père qu'il laisse tout tomber, même si on confie ses craintes à sa mère)
Il faut être identifié pour ajouter un commentaire !
FrVi était un étudiant stressé, c'est pourquoi il nous a proposé cette examinée du tube de Philippe Lafontaine !
Voici les paroles : [merci !]
Ainsi que l'indique la pochette, il s'agit d'un extrait de la revue annuelle des étudiants ingénieurs, organisée par le C.I. (Cercle Industriel, càd cercle des étudiants ingénieurs civils de l'université de Louvain la Neuve en Belgique) depuis des temps immémoriaux à Louvain-la-Neuve et même avant à Leuven (à ce sujet, voir les commentaires ici). Spectacle complet avec nombreuses parodies de chansons, son titre contient chaque année des jeux de mots ou contrepèteries salaces : je me souviens que quand j'étais étudiant, nous attendions avec impatience l'apparition des affiches : c'était à qui décoderait le titre le premier (le racket ça rate, le combat souterrain menace les vies des générés, etc : vous pouvez découvrir la liste complète de ces titres ici). L'objectivité m'oblige d'avouer en tant qu'ancien membre d'un cercle gentiment concurrent, le Maphys, que nous n'avons jamais réussi à organiser un spectacle qui arrive à la cheville de celui-là ! Par ailleurs, je ne sais pas si le verbe "péter" est utilisé dans cette acception en France ; le contexte permet sans doute de le comprendre, il signifie "recaler" (on dit aussi : "moffler"). Précisons encore que l'université de Louvain est une université catholique, d'où la présence de cet abbé dans le corps professoral (à moins qu'il s'agisse d'un M. Labbé, ou encore d'un sobriquet, car je ne suis pas certain qu'il reste encore beaucoup d'abbés parmi les profs).
C'est meilleur que la version d'origine. Pas difficile, comme je trouve l'œuvre de Philippe Lafontaine, et Cœur de Loup en particulier, profondément bidesque.
@Gozette et Gogo:
Bien vu, il s'agissait en fait de Monsieur Labbé, un prof en Electricité si mes souvenirs sont bons
Puisque le lien vers le Cercle Industriel n'est plus dispo, je ne peux m'empêcher d'ajouter ce titre de la revue de 1989? je pense: « Le sextant du mousse et le compas »…
Peut-être "Rien dire au père" au lieu de "y'a des repères"?…soit en parlant de l'examinateur (garder le silence lors de l'examen, et advienne que pourra), soit par opposition à sa mère qu'il appelle (ne pas dire au père qu'il laisse tout tomber, même si on confie ses craintes à sa mère)
Il faut être identifié pour ajouter un commentaire !