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.. enfin j'y allais surtout pour draguer.
Bon je passe les détails mais ce fut un échec total.
Autant dire que je n'ai plus rien qui me retient à m'abandonner demain sur ce set de techno hardcore halluciné tant attendu.
Ca peut marcher. Je veux dire, ça peut être très libérateur. Même si on ne boit que du sirop de menthe.Ça peut.
Ce soir c'était une chanteuse folk qui hurlait sur sa guitare. Fatiguant.
@ mot2passe : ah d'accord, tel que tu décris, ça me fait penser à un mini Woodstock, ça m'a l'air très sympa. Il y a aussi un festival du même genre (vers chez moi), par contre, c'est payant (il me semble que le prix du billet est modique toutefois), ça s'appelle le Défou'Loire Festival. Il y a plusieurs scènes et des spectacles pour tous les publics. Un gars m'avait remis un prospectus à la sortie de Cypress Hill. :-)
Je recherche désespérément les coordonnées d'un film, je pense italien, des années 80, dont le titre est "Le désert"…l'histoire est la suivante : dans un pays du moyen-orient où sévit une dictature, un chef de l'opposition est poursuivi par les sbires du régime et trouve refuge auprès d'un chef de tribu, qui lui accorde la protection. Le chef de tribu refuse de livrer l'opposant au régime (because of respect sacré des lois de l'hospitalité) et se voit à son tour pris en chasse par le régime..s'ensuit une longue chasse à l'homme dans le désert…je crois qu ensuite la tribu est décimée par le dictateur et l'opposant chopé…le chef de tribu se convertit alors en Rambo des sables et décide de se venger…il prépare l'assassinat du dictateur pendant plusieurs années et décide de mettre son plan à exécution. Le jour où il reussit enfin a avoir le dictateur dans sa ligne de mire lors d'un défilé, il tire et…pas de chance en fait le chef de l'opposition est devenu chef de l'Etat suite a une revolution (mais ca, l'émir le savait pas) et est donc assassiné par erreur par celui qui lui avait sauvé la vie, tragique ironie…puis à la fin l'émir retourne dans le désert, écœuré…
Le héros du film avait un peu une gueule à la Sandokan, style beau ténébreux aux yeux clairs…