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Léon Spilliaert le peintre Ostendais né à la fin du XIX ème serait aussi l'auteur de la pochette qui est une photo d'une sculpture du Christ en athlète.
mortitia75 Saine d'esprit
Inscrite depuis le 30/06/2008
Un bide de Claude François (eh oui même lui !)
Le 14-04-2010 à 20:04:44
à ses débuts il avait pris le pseudo de "Kôkô" et avait sorti un album qui avait fait un flop retentissant, y figurait "Nabout twist" une perle du ringard qui n'a de twist que le nom ^^
Re: Un bide de Claude François (eh oui même lui!)
Le 14-04-2010 à 20:08:40
Ce n'est pas un album sorti à cette époque mais un EP 4 titres (réf. Fontana 460 109) en mars 1962
Il avait enregistré autre chose à l'automne 1961 "Bye bye blackbird" dans une ambiance super jazzy
Re: Un bide de Claude François (eh oui même lui!)
Le 14-04-2010 à 23:56:46
Un bide de Claude François : Un seul t'es sûr ? Je pensais qu'à part "Comme d'habitude", "Le chanteur malheureux", "Le mal-aimé", "Toi et moi contre le monde entier", tout était bidesque chez lui ?
Re: Un bide de Claude François (eh oui même lui!)
Le 16-04-2010 à 18:03:50
Posté par Maeva70 :
Un bide de Claude Francois ? commence déjà par son dernier enregistrement "Bordeaux Rosé" (dans la base)! Très très bidesque!!
Oh ! Que oui !
hre mgbye Psychopathe
Inscrit(e) depuis le 23/02/2004
Re: Un bide de Claude François (eh oui même lui!)
Le 30-04-2010 à 20:34:46
Pour ma part, j'ai une faiblesse pour un titre interprété par Clo-clo mais écrit par Gainsbourg, "Hip hip hip hourrah", qui commence par ces vers sévères "Je pratique la politique de la femme brûlée / Je brûle celle que j'ai adorée"… Gainsbourg, dans un de ces traits d'humour dont il avait le secret, a refourgué à François une chanson d'un machisme et d'une méchanceté géniale, et l'autre truffe l'a chanté sans aucun recul. À la limite on se demande si, comme France Gall quelques années plus tard, il comprenait les vers qu'on lui mettait à la bouche.
J'ai failli mettre "ce qu'on lui mettait en bouche" mais ça aurait frisé la redondance avec les sucettes chères à cette chère France.