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LE CAMLe 15/04/2003 à 11:30
que dire sur elton ? A part qu'il a toujours eu de belles lunettes!
mounabellLe 19/05/2003 à 10:39
et des chapeaux tarte
a Bercy en 86 il était coiffé d'1 tour Eiffel et est apparu en Donald cocaïné
skylarkLe 19/06/2003 à 17:41
Ce morceau, j'ai adoré. J'ai adoré entendre son histoire (quand Elton himself a appelé l'auteur français pour lui demander la permission de reprendre son morceau, et que celui-ci croyait à une blague). J'ai adoré entendre Elton prononcer toute ces paroles en français. Adoré le texte, simple, simplissime même, mais beau. Adoré qu'un artiste de sa trempe chante quelque chose qui l'avait fait craqué, quand on sait ce qu'il a fait, son talent, son œuvre; pas besoin de ça Elton, dans l'absolu : mais il l'a fait. Je trouve ça beau quand un artiste se fait plaisir, au-delà de toute considération commerciale, quand il est grand, et qu'il peut se le permettre : c'est TELLEMENT RARE. CA FAIT DU BIEN. Merci Mr Elton John.
ced-pilineLe 22/06/2018 à 21:30
un jour faudra ajouter Candle in the wind
cherrysalsaLe 14/12/2019 à 23:18
Je rajouterais que le biopic fantasmé qu'il lui a été dédié en cette année 2019, "Rocket man' est juste formidable, avec l'acteur Taron Edgerton éblouissant dans l'incarnation du chanteur chapolunettovore.
morpheeLe 28/01/2020 à 17:30
A l'instar de "Bohemian Rhapsody", je n'ai pas été spécialement emballé par "Rocketman", si ce n'est que par la "performance" de l'acteur principal qui interprète à merveilles l'Elton John des années 1970… Le reste est un gloubi-boulga d'anecdotes avec des anachronismes, des partis-pris du réalisateur et un fil directeur qui se consomme jusqu'à révéler son principal défaut: un scénario vide. Déjà l'idée du biopic sur un chanteur encore actif me laissait perplexe, mais la morale finale du film est particulièrement maladroite avec un message très ambigu: "Elton John fête cette année ses quarante ans de sobriété"… or, ça fait justement 40 ans qu'il nous pond des disques sans saveur, avec la même formule "ballade-guimauve", alternant musique de marriage-musique pour enterrement, très loin de son époque créative et excellente, justement évoquée dans Rocketman où (au moins) les 5 meilleurs albums de sa discographie sont concentrés en quelques années: Tumbleweed Connection (1971), Madman Across the Water (1971), Honky Château (1972), le double Goodbye Yellow Brick Road (1973), et Captain Fantastic and the Brown Dirt Cowboy (1975). Ces disques, non seulement contiennent la plupart de ses meilleurs morceaux, mais aussi des perles méconnues du grand public. L'intérêt suscité par le film m'a poussé à les réécouter. C'est sûrement sa plus grande réussite.
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que dire sur elton ? A part qu'il a toujours eu de belles lunettes!
et des chapeaux tarte
a Bercy en 86 il était coiffé d'1 tour Eiffel et est apparu en Donald cocaïné
Ce morceau, j'ai adoré. J'ai adoré entendre son histoire (quand Elton himself a appelé l'auteur français pour lui demander la permission de reprendre son morceau, et que celui-ci croyait à une blague). J'ai adoré entendre Elton prononcer toute ces paroles en français. Adoré le texte, simple, simplissime même, mais beau. Adoré qu'un artiste de sa trempe chante quelque chose qui l'avait fait craqué, quand on sait ce qu'il a fait, son talent, son œuvre; pas besoin de ça Elton, dans l'absolu : mais il l'a fait. Je trouve ça beau quand un artiste se fait plaisir, au-delà de toute considération commerciale, quand il est grand, et qu'il peut se le permettre : c'est TELLEMENT RARE. CA FAIT DU BIEN. Merci Mr Elton John.
un jour faudra ajouter Candle in the wind
Je rajouterais que le biopic fantasmé qu'il lui a été dédié en cette année 2019, "Rocket man' est juste formidable, avec l'acteur Taron Edgerton éblouissant dans l'incarnation du chanteur chapolunettovore.
A l'instar de "Bohemian Rhapsody", je n'ai pas été spécialement emballé par "Rocketman", si ce n'est que par la "performance" de l'acteur principal qui interprète à merveilles l'Elton John des années 1970… Le reste est un gloubi-boulga d'anecdotes avec des anachronismes, des partis-pris du réalisateur et un fil directeur qui se consomme jusqu'à révéler son principal défaut: un scénario vide. Déjà l'idée du biopic sur un chanteur encore actif me laissait perplexe, mais la morale finale du film est particulièrement maladroite avec un message très ambigu: "Elton John fête cette année ses quarante ans de sobriété"… or, ça fait justement 40 ans qu'il nous pond des disques sans saveur, avec la même formule "ballade-guimauve", alternant musique de marriage-musique pour enterrement, très loin de son époque créative et excellente, justement évoquée dans Rocketman où (au moins) les 5 meilleurs albums de sa discographie sont concentrés en quelques années: Tumbleweed Connection (1971), Madman Across the Water (1971), Honky Château (1972), le double Goodbye Yellow Brick Road (1973), et Captain Fantastic and the Brown Dirt Cowboy (1975). Ces disques, non seulement contiennent la plupart de ses meilleurs morceaux, mais aussi des perles méconnues du grand public. L'intérêt suscité par le film m'a poussé à les réécouter. C'est sûrement sa plus grande réussite.
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