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Claude BukowskiLe 01/06/2021 à 20:47
Il y a vraiment des enfants qui trouvaient ça marrant ?
Ou ils faisaient semblant d'aimer pour faire plaisir à Mamie qui leur avait offert le disque ?
Dam-DamLe 16/10/2025 à 23:43
Le texte qui a son rythme de la journée à lui :
Après une journée mouvementée avec le singe et le requin, Bozo et ses amis ont besoin d'une bonne nuit de repos. Mais, à quatre heures du matin, le directeur est dans la chambre de Butch et le secoue énergiquement.
[Le directeur] Oh, réveille-toi, Butch ! Bozo est sous le chapiteau du cirque.
[Butch] - Quoi ? Quoi ! Bozo ! Bozo est déjà réveillé !
- Viens vite ! Je crois qu'il dort encore.
Tous les deux, en chemise de nuit, courent vers la grande tente du cirque. Et là, ils aperçoivent leur ami, le clown Bozo, à dix mètres du sol, marchant les yeux fermés, les bras en avant, sur un mince fil d'acier tendu entre deux mâts. Bozo, comme un acrobate, court, saute sur un pied, fait demi-tour, revient sur ses pas.
[Butch] Mais il est somnambule !
[Le directeur] - Chut ! Pas si fort. Il pourrait se réveiller et tomber.
Le directeur n'a pas terminé sa phrase que Bozo fait un pas sur le côté et est précipité dans le vide.
[Butch et le directeur] Bozo !
Heureusement [Boing !] il atterrit dans un grand filet tendu au-dessus de la piste et rebondit avec une telle force qu'il part dans les airs et crève la toile du chapiteau, telle une fusée.
[Butch] Il est là-haut ! Oh mais comment va-t-il redescendre ?
[Le directeur] - Oh c'est terrible. Le meilleur clown de mon cirque ! Ohlalala…
- Il retombe !
A toute vitesse, Bozo descend du ciel et tombe assis sur un monocycle que l'équilibriste du cirque avait laissé sur place hier soir après avoir fait son numéro. Et Bozo, qui ne s'est pas réveillé, part assis sur la selle de son engin, les bras en avant, en direction de la ville.
[Butch et le directeur] Bozo !
[Le directeur] - Allons, allons vite nous habiller. Nous tâcherons de le rattraper en ville.
Pendant que le directeur et Butch rentrent au cirque pour mettre des costumes convenables, Bozo a vite fait d'atteindre le centre de la ville en roulant toujours sur son unique roue. Il commence déjà à y avoir beaucoup de circulation. Et au carrefour, un agent de police affolé ne peut pas empêcher les accidents entre les automobiles qui essaient d'éviter Bozo. Celui-ci, indifférent à tout ce remue-ménage, continue son chemin et heurte à pleine allure [Boum !] un gros autobus. Pauvre Bozo. La violence du choc le projette par-dessus une palissade [Boing] Et là, sur un chantier de construction, une grue est en train de transporter au bout de son crochet une poutrelle d'acier sur laquelle se pose en équilibre Bozo toujours somnambule. Bozo avance sur toute la longueur de la poutre, jusqu'à ce qu'il ne trouve plus que le vide sous ses pieds.
[Le haut-parleur] Plongeur suivant, à vous !
C'est le haut-parleur de la piscine municipale où a lieu le concours annuel du meilleur plongeur. Mais au moment précis où le plongeur va s'avancer sur le tremplin, c'est Bozo qui arrive ! Qui saute ! Et rebondit !
[Les spectateurs] Oh ! Bravo !
Les spectateurs sont émerveillés. Et devant l'admiration générale, le jury décerne à ce dernier sauteur un prix hors concours. Le speaker veut annoncer le nom du vainqueur.
[Le speaker] Et le gagnant de cette épreuve est… Mais qui est-ce ?!
Personne ne connaît ce concurrent. A ce moment, Butch et le directeur, qui ont vu de loin Bozo, arrivent au bord de la piscine.
Bozo n'est pas retombé dans la piscine. Il a tellement rebondi sur le plongeoir qu'il a de nouveau été projeté dans les airs et il se retrouve debout sur l'aile d'un avion qui passait par là.
[Butch] Oh ! C'est vraiment incroyable !
Le directeur, qui n'a pas ralenti sa course et regarde l'avion sur lequel s'éloigne Bozo, trébuche sur le bord de la piscine et amorce un plongeon qui, lui, [Plouf !] se termine bien dans l'eau.
[Le directeur] Oh ! C'est vraiment impensable de mettre autant d'eau dans une piscine.
[Butch] - Dépêchez-vous, patron ! Il faut aller tout de suite à l'aéroport ! La prochaine fois, n'oubliez pas votre maillot de bain.
A bord de l'avion, dans le poste de pilotage, c'est la stupéfaction.
[Le commandant] Un passager clandestin ? Mais c'est Bozo ! Regardez !
[Le copilote] - Quoi ?
Les deux pilotes regardent Bozo en équilibre sur l'extrémité de l'aile de l'avion et dormant toujours.
[Le commandant] Mais comment est-il arrivé là ?
[Le copilote] - J'espère qu'il va tenir jusqu'à l'atterrissage.
- Redresse l'appareil.
- Réduisons la vitesse.
L'avion amorce sa descente en virant dangereusement sur l'aile et Bozo, en équilibre instable, ne se rend toujours pas compte du danger. L'avion se présente devant la piste, le train d'atterrissage baissé, et bientôt il roule sur le sol. Inconsciemment, Bozo se penche en avant pour résister à la vitesse et au vent qui risque encore de le renverser. Butch et le directeur arrivent à la tour de contrôle et se précipitent vers l'avion qui roule toujours.
[Butch] Vite ! Il va tomber !
[Le directeur] - Ouh ! Oh ! Moi aussi !
Et le malheureux directeur trébuche et tombe une fois de plus. Mais là, c'est heureusement dans l'herbe. Butch arrive sous l'aile de l'avion au moment où il s'immobilise devant les hangars. Et il n'a qu'à tendre les bras pour recevoir Bozo.
[Butch] Ca y est ! Je le tiens !
[Le directeur] - Ah ! Ouf ! On a eu chaud.
Butch dépose Bozo sur le sol. Il baille bruyamment, ouvre les yeux et regarde ses deux amis.
[Bozo] Ouah ! Bonjour. Mais, mais où sommes-nous ?
[Butch] - A l'aéroport, Bozo.
Bozo, à ce seul mot d'aéroport, se réveille tout à fait et ouvre ses grands yeux.
[Bozo] Oh Patron ! Patron ! Retournons vite au cirque, je suis malade rien qu'à la pensée de monter dans un avion.
[Le directeur] Oh Bozo. Je voulais te demander d'être notre super fantastique incroyable acrobate volant.
Le directeur a toujours le mot pour rire. Mais peut-être parle-t-il sérieusement. Sait-on jamais avec les gens du cirque.
[Bozo] Vous n'y pensez pas, patron ! J'ai un vertige terrible ! Et je ne peux même pas monter sur un p'tit banc pour remettre ma pendule à l'heure.
[Butch] - [Rires] Tu es vraiment très drôle, Bozo !
- Bien évidemment, j'suis un clown ! [Rire de Bozo]
Un grand bonhomme bleu
Avec un p'tit nez rouge
Une paire de gants blancs
Et un grand col qui bouge
Bleu, blanc, rouge
C'est moi, Bozo le clown !
Ouh ouh ouh
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Il y a vraiment des enfants qui trouvaient ça marrant ?
Ou ils faisaient semblant d'aimer pour faire plaisir à Mamie qui leur avait offert le disque ?
Le texte qui a son rythme de la journée à lui :
Après une journée mouvementée avec le singe et le requin, Bozo et ses amis ont besoin d'une bonne nuit de repos. Mais, à quatre heures du matin, le directeur est dans la chambre de Butch et le secoue énergiquement.
[Le directeur] Oh, réveille-toi, Butch ! Bozo est sous le chapiteau du cirque.
[Butch] - Quoi ? Quoi ! Bozo ! Bozo est déjà réveillé !
- Viens vite ! Je crois qu'il dort encore.
Tous les deux, en chemise de nuit, courent vers la grande tente du cirque. Et là, ils aperçoivent leur ami, le clown Bozo, à dix mètres du sol, marchant les yeux fermés, les bras en avant, sur un mince fil d'acier tendu entre deux mâts. Bozo, comme un acrobate, court, saute sur un pied, fait demi-tour, revient sur ses pas.
[Butch] Mais il est somnambule !
[Le directeur] - Chut ! Pas si fort. Il pourrait se réveiller et tomber.
Le directeur n'a pas terminé sa phrase que Bozo fait un pas sur le côté et est précipité dans le vide.
[Butch et le directeur] Bozo !
Heureusement [Boing !] il atterrit dans un grand filet tendu au-dessus de la piste et rebondit avec une telle force qu'il part dans les airs et crève la toile du chapiteau, telle une fusée.
[Butch] Il est là-haut ! Oh mais comment va-t-il redescendre ?
[Le directeur] - Oh c'est terrible. Le meilleur clown de mon cirque ! Ohlalala…
- Il retombe !
A toute vitesse, Bozo descend du ciel et tombe assis sur un monocycle que l'équilibriste du cirque avait laissé sur place hier soir après avoir fait son numéro. Et Bozo, qui ne s'est pas réveillé, part assis sur la selle de son engin, les bras en avant, en direction de la ville.
[Butch et le directeur] Bozo !
[Le directeur] - Allons, allons vite nous habiller. Nous tâcherons de le rattraper en ville.
Pendant que le directeur et Butch rentrent au cirque pour mettre des costumes convenables, Bozo a vite fait d'atteindre le centre de la ville en roulant toujours sur son unique roue. Il commence déjà à y avoir beaucoup de circulation. Et au carrefour, un agent de police affolé ne peut pas empêcher les accidents entre les automobiles qui essaient d'éviter Bozo. Celui-ci, indifférent à tout ce remue-ménage, continue son chemin et heurte à pleine allure [Boum !] un gros autobus. Pauvre Bozo. La violence du choc le projette par-dessus une palissade [Boing] Et là, sur un chantier de construction, une grue est en train de transporter au bout de son crochet une poutrelle d'acier sur laquelle se pose en équilibre Bozo toujours somnambule. Bozo avance sur toute la longueur de la poutre, jusqu'à ce qu'il ne trouve plus que le vide sous ses pieds.
[Le haut-parleur] Plongeur suivant, à vous !
C'est le haut-parleur de la piscine municipale où a lieu le concours annuel du meilleur plongeur. Mais au moment précis où le plongeur va s'avancer sur le tremplin, c'est Bozo qui arrive ! Qui saute ! Et rebondit !
[Les spectateurs] Oh ! Bravo !
Les spectateurs sont émerveillés. Et devant l'admiration générale, le jury décerne à ce dernier sauteur un prix hors concours. Le speaker veut annoncer le nom du vainqueur.
[Le speaker] Et le gagnant de cette épreuve est… Mais qui est-ce ?!
Personne ne connaît ce concurrent. A ce moment, Butch et le directeur, qui ont vu de loin Bozo, arrivent au bord de la piscine.
[Le directeur] Enfin Bozo !
[Butch] - Bozo, il s'appelle Bozo ! Oh regardez !
Bozo n'est pas retombé dans la piscine. Il a tellement rebondi sur le plongeoir qu'il a de nouveau été projeté dans les airs et il se retrouve debout sur l'aile d'un avion qui passait par là.
[Butch] Oh ! C'est vraiment incroyable !
Le directeur, qui n'a pas ralenti sa course et regarde l'avion sur lequel s'éloigne Bozo, trébuche sur le bord de la piscine et amorce un plongeon qui, lui, [Plouf !] se termine bien dans l'eau.
[Le directeur] Oh ! C'est vraiment impensable de mettre autant d'eau dans une piscine.
[Butch] - Dépêchez-vous, patron ! Il faut aller tout de suite à l'aéroport ! La prochaine fois, n'oubliez pas votre maillot de bain.
A bord de l'avion, dans le poste de pilotage, c'est la stupéfaction.
[Le commandant] Un passager clandestin ? Mais c'est Bozo ! Regardez !
[Le copilote] - Quoi ?
Les deux pilotes regardent Bozo en équilibre sur l'extrémité de l'aile de l'avion et dormant toujours.
[Le commandant] Mais comment est-il arrivé là ?
[Le copilote] - J'espère qu'il va tenir jusqu'à l'atterrissage.
- Redresse l'appareil.
- Réduisons la vitesse.
L'avion amorce sa descente en virant dangereusement sur l'aile et Bozo, en équilibre instable, ne se rend toujours pas compte du danger. L'avion se présente devant la piste, le train d'atterrissage baissé, et bientôt il roule sur le sol. Inconsciemment, Bozo se penche en avant pour résister à la vitesse et au vent qui risque encore de le renverser. Butch et le directeur arrivent à la tour de contrôle et se précipitent vers l'avion qui roule toujours.
[Butch] Vite ! Il va tomber !
[Le directeur] - Ouh ! Oh ! Moi aussi !
Et le malheureux directeur trébuche et tombe une fois de plus. Mais là, c'est heureusement dans l'herbe. Butch arrive sous l'aile de l'avion au moment où il s'immobilise devant les hangars. Et il n'a qu'à tendre les bras pour recevoir Bozo.
[Butch] Ca y est ! Je le tiens !
[Le directeur] - Ah ! Ouf ! On a eu chaud.
Butch dépose Bozo sur le sol. Il baille bruyamment, ouvre les yeux et regarde ses deux amis.
[Bozo] Ouah ! Bonjour. Mais, mais où sommes-nous ?
[Butch] - A l'aéroport, Bozo.
Bozo, à ce seul mot d'aéroport, se réveille tout à fait et ouvre ses grands yeux.
[Bozo] Oh Patron ! Patron ! Retournons vite au cirque, je suis malade rien qu'à la pensée de monter dans un avion.
[Le directeur] Oh Bozo. Je voulais te demander d'être notre super fantastique incroyable acrobate volant.
Le directeur a toujours le mot pour rire. Mais peut-être parle-t-il sérieusement. Sait-on jamais avec les gens du cirque.
[Bozo] Vous n'y pensez pas, patron ! J'ai un vertige terrible ! Et je ne peux même pas monter sur un p'tit banc pour remettre ma pendule à l'heure.
[Butch] - [Rires] Tu es vraiment très drôle, Bozo !
- Bien évidemment, j'suis un clown ! [Rire de Bozo]
Un grand bonhomme bleu
Avec un p'tit nez rouge
Une paire de gants blancs
Et un grand col qui bouge
Bleu, blanc, rouge
C'est moi, Bozo le clown !
Ouh ouh ouh
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