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Et l'aut eh c'est ton biz' bouffon
Je suis débordé
Oh tête de mort !
Et l'aut eh c'est ton biz' la princesse ASSEDIC
Nous n'avons pas les mêmes valeurs
Eh qui qui eh eh, eh
Qui c'est c'bouffon ?
Eh qui qui eh eh, eh
Qui c'est c'bouffon ?
abbey_roadLe 25/04/2007 à 10:38
Je vous demande de vous arrêter!
JGABLe 04/08/2007 à 23:59
faudrait remettre le titre dans le contexte politique de l'époque :
Balladur, premier ministre (sous Mitterrand , donc en cohabitation) et candidat à l'élection de 1995 face à Chirac, maire de Paris, mais du même camp politique, et qui lui est dejà a sa troisième candidature, ajouté a cela une traîtrise venant d'un certain petit Nicolas rejoignant les forces molles de balladur… un imbroglio politicardo de gazette qui n'aurait fait du tort qu'a Balla … la suite, on la connait pour les sieur Chirac et Nicolas …
Gozette et GogoLe 01/02/2008 à 23:43
Pour le mettre totalement dans le contexte de l'époque, il faut rappeler aussi que c'est l'époque du fameux "Omar m'a tuer"…
morpheeLe 02/02/2008 à 13:25
Sans oublier la musique de fond, une honteuse et volontaire moulinette de 2 Unlimited. Au mix c'est d'ailleurs un certain Jean-Louis Chesnais, qui s'est distingué sous deux autres pseudos quelques années auapravant : BZH et JLC.
alcmeonLe 18/04/2008 à 23:59
Pour revenir sur le contexte, il me semble surtout que c'était le titre d'un article du Monde signé André Rousselet, après qu'il fut écarté de la présidence de Canal + par le premier ministre d'alors, Edouard Balladur. Pas de lien direct avec Jacques Chirac ni le petit Nicolas…
chatfsLe 19/04/2008 à 00:08
Le contexte politique:
En février 1994, la Compagnie Générale des Eaux, la Société Générale et Havas (avec la bénédiction de Matignon) prenent le contrôle du capital de Canal +. André Rousselet (président de canal, exécuteur testamentaire de Mitterrand et remplisseur de chèques à l'occasion de CsLeAmSrSaÉ TeOuP SqEiCrRfEaT) quitte aussitôt ses fonctions. Il signe dans Le Monde un article vengeur intitulé "Édouard m'a tuer" (par référence à l'affaire Marchal et au message en lettres de sang « Omar m'a tuer »).
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Je vous demande de vous arrêter!
faudrait remettre le titre dans le contexte politique de l'époque :
Balladur, premier ministre (sous Mitterrand , donc en cohabitation) et candidat à l'élection de 1995 face à Chirac, maire de Paris, mais du même camp politique, et qui lui est dejà a sa troisième candidature, ajouté a cela une traîtrise venant d'un certain petit Nicolas rejoignant les forces molles de balladur… un imbroglio politicardo de gazette qui n'aurait fait du tort qu'a Balla … la suite, on la connait pour les sieur Chirac et Nicolas …
Pour le mettre totalement dans le contexte de l'époque, il faut rappeler aussi que c'est l'époque du fameux "Omar m'a tuer"…
Sans oublier la musique de fond, une honteuse et volontaire moulinette de 2 Unlimited. Au mix c'est d'ailleurs un certain Jean-Louis Chesnais, qui s'est distingué sous deux autres pseudos quelques années auapravant : BZH et JLC.
Pour revenir sur le contexte, il me semble surtout que c'était le titre d'un article du Monde signé André Rousselet, après qu'il fut écarté de la présidence de Canal + par le premier ministre d'alors, Edouard Balladur. Pas de lien direct avec Jacques Chirac ni le petit Nicolas…
Le contexte politique:
En février 1994, la Compagnie Générale des Eaux, la Société Générale et Havas (avec la bénédiction de Matignon) prenent le contrôle du capital de Canal +. André Rousselet (président de canal, exécuteur testamentaire de Mitterrand et remplisseur de chèques à l'occasion de CsLeAmSrSaÉ TeOuP SqEiCrRfEaT) quitte aussitôt ses fonctions. Il signe dans Le Monde un article vengeur intitulé "Édouard m'a tuer" (par référence à l'affaire Marchal et au message en lettres de sang « Omar m'a tuer »).
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