Les cookies nous permettent de personnaliser le contenu du site, les annonces publicitaires et d'analyser notre trafic.
Nous partageons également des informations avec nos partenaires, de publicité ou d'analyse
mais aucune de vos données personnelles (e-mail, login).
Du fond de la vallée
Le vent tel un baiser
Est venu caresser
La fin de la journée
Et l'on voit serpenter
La route en liberté
{Refrain:}
Au loin, conduit par un vieux cheval tout blanc
Apparaît dans le soleil couchant
La roulotte des gitans
Aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe
Bientôt, dans la nuit qui descend lentement
On entend des accords captivants
Qui montent du feu de camp
Sous le reflet des flammes qui pétillent
On voit danser la plus jolie des filles
Tandis qu'un gars assis nonchalamment
Sur sa guitare l'accompagne en chantant
Déjà la lune est montée au firmament
Et le vent éteint le feu du camp
Tout s'endort chez les gitans
Aïe, aïe, aïe
Moi qui ai vu chanter
Le gars au teint bronzé
Je n'ai pu m'empêcher
Malgré moi, de l'aimer
Aussi dès le matin
J'étais sur le chemin
{Refrain:}
Au loin, conduit par le vieux cheval tout blanc
Disparaît dans le soleil levant
La roulotte des gitans
Aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe
Bientôt, je ne vois plus rien à l'horizon
Dans mes yeux tout danse et se confond
Je n'entends que la chanson
Nul ne saura que j'ai beaucoup de peine
Et que mon âme est partie dans la plaine
Nul ne saura que j'ai bien du chagrin
Pas même toi, gitan aux yeux malins
Déjà, il ne reste plus du feu de camp
Que les cendres qui volent au vent
Et dans mon cœur le bruit lancinant
De la roulotte des gitans
Aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe.
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
Nous nous engageons à en retirer l'affichage en cas de demande de leur part.
Commentaires
Voir tous les commentaires
Pas de commentaires !
Il faut être identifié pour ajouter un commentaire !
Il faut être identifié pour ajouter un commentaire !