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C'est à Saïgon que j'l'ai connue
Elle était toute menue
Et toute frêle comme un roseau
Dans son p'tit kimono
Je lui dis : Ma jolie congaï
Voulez-vous que nous nous promenions ?
Prenant un air un peu canaille
Elle ne me dit pas non
Et tous deux nous glissions en douce
En pousse-pousse, pousse-pousse, pousse-pousse
Kamuna à mes côtés semblait follement s'amuser
Elle disait au p'tit Annamite : Pas trop vite, vite, vite, vite, vite
Nous roulions sur le pavé dans un beau rêve enchanté
J'lui disais : Kamuna, serrez-vous bien contre moi
Elle fermait les yeux et n'en demandait pas mieux
Nous passâmes des heures très douces
En pousse-pousse, pousse-pousse, pousse-pousse
Mao dao, je ne comprenais rien du tout
Mao dao, mais c'était si doux
Notre si beau roman d'amour
Dura trois mois six jours
Trois mois de rêves éperdus
Puis, elle ne revint plus
Alors, je partis pour la France
Souvent, le soir, tout attendri
C'est à Kamuna que je pense
À notre roman joli
C'était une sensation bien douce
En pousse-pousse, pousse-pousse, pousse-pousse
Pour que ces moments charmants puissent durer plus longtemps
Elle disait au p'tit Annamite : Pas trop vite, vite, vite, vite, vite
Nous roulions sur le pavé dans un beau rêve enchanté
J'lui disais : Kamuna, serrez-vous bien contre moi
Elle fermait les yeux et n'en demandait pas mieux
Nous passâmes des heures très douces
En pousse-pousse, pousse-pousse, pousse-pousse
Mao dao, je ne comprenais rien du tout
Mao dao, mais c'était si doux
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