Votre toast, je peux vous le rendre,
Señor, señors car avec les soldats
Oui, les Toreros peuvent s'entendre;
Pour plaisirs, pour plaisirs,
Ils ont les combats !
Le cirque est plein,
c'est jour de fête !
Le cirque est plein du haut en bas ;
Les spectateurs, perdant la tête,
Les spectateurs s'interpellent à grand fracas !
Apostrophes, cris et tapage
Poussent jusque à la fureur !
Car c'est la fête du courage !
C'est la fête des gens de cor
Allons ! en garde ! Allons ! Allons ! ah !
Toréador, en garde ! Toréador, Toréador !
Et songe bien, oui, songe en combattant
Qu'un œil noir te regarde,
Et que l'amour t'attend,
Toréador, L'amour t'attend !
Et songe bien, oui, songe en combattant
Qu'un œil noir te regarde,
Et que l'amour t'attend,
Toréador, L'amour t'attend !
Tout d'un coup, on fait silence…
Ah ! que se passe-t-il ?
Plus de cris, c'est l'instant !
Plus de cris, c'est l'instant !
le taureau s'élance
En bondissant hors du Toril !
Il s'élance ! Il entre,
Il frappe ! un cheval roule,
Entraînant un Picador,
Ah ! bravo ! Toro ! Hurle la foule !
Le taureau va, il vient,
il vient et frappe encore !
En secouant ses banderilles,
Plein de fureur, il court !
Le cirque est plein de sang !
On se sauve, on franchit les grilles !
C'est ton tour maintenant ! allons !
En garde ! allons ! allons ! Ah !
Toréador, en garde ! Toréador, Toréador !
Et songe bien, oui, songe en combattant
Qu'un œil noir te regarde,
Et que l'amour t'attend,
Toréador, L'amour t'attend !
Et songe bien, oui, songe en combattant
Qu'un œil noir te regarde
Et que l'amour t'attend,
Toréador, L'amour t'attend !
Et songe bien, oui, songe en combattant
Qu'un œil noir te regarde
Et que l'amour t'attend,
Et que l'amour t'attend,
Toréador, L'amour t'attend !
L'amour ! L'amour ! L'amour !
Toréador, Toréador, l'amour t'attend !
Transcripteur : morphee |
Le come back d'Eric Morena n'est pas passé inaperçu sur Bide, si discret soit-il ! Nouveau look, mais toujours la même recette. Un beau massacre de Bizet !
Bizet doit se retourner dans sa tombe !!! Comment peut-on massacrer ainsi Carmen ?
Hal: remets toi! La Morena offre à Carmen le traitement que cette daube mérite. Et la Moréna en a tiré le succès qu'il mérite: aucun.
Le "mixeur" de cette version mène visiblement un combat sans pitié contre la corrida… en plus d'être sourd.
Ajouter le groove de 'Plastic Dreams' a de l'operette !! Je crois que cette fois, on tient la recette infaillible du bide.
Auteurs : Henri Meilhac d'après Georges Bizet ??? comment ça ?
Pour mémoire, Henri Meilhac (1831-1897) est le librettiste de "Carmen", mis en musique par Bizet… alors, à la rigueur, "Georges Bizet d'après Henri Meilhac"… mais sinon…
[J'ai essayé de trouver un moyen terme satisfaisant… (hre)]
Un maheur dans les dance floor de dax, nimes et arles je présume ^^
Oui, un "malheur", comme tu dis… ;)
Ça tue la tête T_T
A mon avis, pour les crédits il faut lire : Paroles : Henri Meilhac ; Musique : d'après Georges Bizet ; ça devient de suite plus cohérent.
Cela dit je suis totalement déçu par ce come-back ; je préfère rester sur le Torero de l'amour (présent dans la base), autrement plus festif et naturel !
Pour les crédits, ça peut éventuellement être : Henri Meilhac d'après Prosper Mérimé / Georges Bizet.
Le principe de coller du tchac-poum sous n'importe quoi est vieux comme euh, on dira la pop, mais là je trouve bizarrement que ça colle moyennement. A croire que ce brave Éric a chanté sa bluette, et qu'on a collé ensuite une rythmique en-dessous en essayant de recoller les morceaux sans trop y parvenir.
Bidet, au lieu de Bizet.
C'est tout.
Attention Eric ! 'Un œil noir té régarde !'
Après vérification et avoir ré-souffert de cette absence, il ne dit jamais "Et que l'amour t'attend"… C'est horripilant, pour ne pas dire plus, comme une blague sans chute. Et comme il saute plusieurs morceaux du livret de Henri Meilhac, voici ce qui trouva grâce à ses yeux:
Votre toast, je peux vous le rendre,
Señor, señors car avec les soldats
Oui, les Toreros peuvent s'entendre;
Pour plaisirs, pour plaisirs,
Ils ont les combats !
Le cirque est plein,
c'est jour de fête !
Le cirque est plein du haut en bas ;
Les spectateurs, perdant la tête,
Les spectateurs s'interpellent à grand fracas !
Toréador, en garde ! Toréador, Toréador !
Et songe bien, oui, songe en combattant
Qu'un œil noir te regarde…
Toréador, en garde ! Toréador, Toréador !
Et songe bien, oui, songe en combattant
Qu'un œil noir te regarde…
Tout d'un coup, on fait silence…
Ah ! que se passe-t-il ?
Plus de cris, c'est l'instant !
Plus de cris, c'est l'instant !
le taureau s'élance
En bondissant hors du Toril !
Toréador, en garde ! Toréador, Toréador !
Et songe bien, oui, songe en combattant
Qu'un œil noir te regarde…
Toréador, en garde ! Toréador, Toréador !
Et songe bien, oui, songe en combattant
Qu'un œil noir te regarde…
Toréador, en garde ! Toréador, Toréador !
Et songe bien, oui, songe en combattant
Qu'un œil noir te regarde…
Toréador, en garde ! Toréador, Toréador !
Et songe bien, oui, songe en combattant
Qu'un œil noir te regarde…
Toréador, en garde ! Toréador, Toréador !
Et songe bien, oui, songe en combattant
Qu'un œil noir te regarde…
Effectivement, il ne dit jamais "et que l'amour t'attend", il préfère s'époumoner à soutenir un "té régaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaarde" digne du sketch des Inconnus sur les vieux chanteurs.
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