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REFRAIN
Faut bien peser le contre
Faut bien peser le pour
Faut bien peser le contre
Faut bien peser l'amour
En moins de temps qu'il ne faut pour le dire
Je m'avance vers elle et je jaunis un sourire
Je bafouille mes mots. Minable, je devins
C'est à ce moment-là que j'aperçus ses mains
Mais elle était du bois dont on fait les pipeaux
Comprenant mon émoi, elle me tendit la peau
De ses mains de princesse. Ah mon dieu, quels appâts
Mais ma raison veillait, qui me disait tout bas :
REFRAIN
En moins de temps qu'il ne faut pour aimer
Je fondis sur ses lèvres, engloutis un baiser
Ma tête un peu trop lourde chercha quelque coussin
C'est à ce moment-là que j'aperçus ses seins
Mais elle était du bois dont on fait les pipeaux
Comprenant mon émoi, elle me tendit la peau
De ses seins de princesse. Ah mon dieu, quels appâts
Mais ma raison veillait, qui me disait tout bas :
REFRAIN
En moins de temps qu'il ne faut pour mourir
Je me mourrai d'amour, emportant mes soupirs
Mes gestes pataugeaient sur son anatomie
C'est à ce moment-là que je vis son mari
Qui n'était pas du bois dont on fait les pipeaux
Sans attendre mon reste, je pris aussitôt
Les jambes à mon cou et j'allais voir ailleurs
Et ma raison chantait un petit air moqueur :
Fallait peser le contre
Fallait peser le pour
Fallait peser le contre
Fallait peser l'amour
Fallait peser l'amour !
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