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They heard me singing and they told me to stop
Quit these pretentious things and just punch the clock'
These days my life I feel it has no purpose
But late at night the feelings swim towards the surface
'Cause on the surface the city lights shine
They're calling at me: Come and find your kind!
Sometimes I wonder if the world's so small
That we can never get away from the sprawl
Living in the sprawl
Dead shopping malls rise
Like mountains beyond mountains
And there's no end in sight
I need the darkness, someone, please, cut the lights
We rode our bikes to the nearest park
Sat under the swings and kissed in the dark
You shield my eyes from the police lights
We run away, but we don't know why
Black river, your city lights shine
They're screaming at us: We don't need your kind
Sometimes I wonder if the world's so small
That we can never get away from the sprawl
Living in the sprawl
Dead shopping malls rise
Like mountains beyond mountains
And there's no end in sight
I need the darkness, someone, please, cut the lights
They heard me singing and they told me stop
Quit these pretentious things and just punch the clock'
Sometimes I wonder if the world's so small
Can we ever get away from the sprawl?
Living in the sprawl
Dead shopping malls rise
Like mountains beyond mountains
And there's no end in sight
I need the darkness, someone, please, cut the lights
I need the darkness, someone, please, cut the lights
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Commentaires
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1 commentaire
morpheeLe 30/06/2022 à 19:00
Dès la première phrase, "They heard me singing and they told me to stop", on sait qu'on a déjà affaire à quelque chose de devenu culte, surtout dans les karaokés… et qui pourrait ici s'appliquer à une grande partie des chanteuses de notre base ! Mais bon, Régine Chassagne, co-leader d'Arcade Fire, a suffisamment de talent pour se risquer à ce genre d'autodérision.
Considéré à juste titre comme le "Heart of Glass" des années 2010, la chanson a déjà 12 ans et n'a toujours pas quitté mes divers play-lists d'écoute. C'est tout de même le meilleur morceau de disco sorti depuis la fin des années 1970 et, une fois de plus, l'œuvre d'un grand groupe de rock !
Sinon, j'avoue avoir découvert le concept d'Urban "Sprawl" (banlieue ou zone péri-urbaine de maisons individuelles très étendue) avec les deux chansons "Sprawl" (parts I et II), fidèles au concept de l'album "The Suburbs" dont elles sont issues. Le sous-titre vient quant à lui du livre de Tracey Kidder "Mountains Beyond Mountains: The Quest of Dr. Paul Farmer, a Man Who Would Cure the World", une biographie de ce médecin décédé en 2022 et fondateur de Partners in Health, association humanitaire très présente à Haïti, le pays d'origine de Régine Chassagne.
Le clip:
La "homemade" version confinement:
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Dès la première phrase, "They heard me singing and they told me to stop", on sait qu'on a déjà affaire à quelque chose de devenu culte, surtout dans les karaokés… et qui pourrait ici s'appliquer à une grande partie des chanteuses de notre base ! Mais bon, Régine Chassagne, co-leader d'Arcade Fire, a suffisamment de talent pour se risquer à ce genre d'autodérision.
Considéré à juste titre comme le "Heart of Glass" des années 2010, la chanson a déjà 12 ans et n'a toujours pas quitté mes divers play-lists d'écoute. C'est tout de même le meilleur morceau de disco sorti depuis la fin des années 1970 et, une fois de plus, l'œuvre d'un grand groupe de rock !
Sinon, j'avoue avoir découvert le concept d'Urban "Sprawl" (banlieue ou zone péri-urbaine de maisons individuelles très étendue) avec les deux chansons "Sprawl" (parts I et II), fidèles au concept de l'album "The Suburbs" dont elles sont issues. Le sous-titre vient quant à lui du livre de Tracey Kidder "Mountains Beyond Mountains: The Quest of Dr. Paul Farmer, a Man Who Would Cure the World", une biographie de ce médecin décédé en 2022 et fondateur de Partners in Health, association humanitaire très présente à Haïti, le pays d'origine de Régine Chassagne.
Le clip:
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