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Présentation : Comme indiqué sur la pochette, la chanson fut n°1 aux États-Unis, ce qui fut d'ailleurs le seul succès de ce groupe new-yorkais dont la discographie se limite à deux albums. Le deuxième et dernier, "About face", contient ce titre.
She was black as the night
Louie was whiter than white
Danger, danger when you taste brown suga'
Louie fell in love overnight
Nothing bad, it was good
Louie had the best girl he could
When he took 'er home
To meet her mama and papa
Louie knew just where he stood
There he stood in the night
Knowing what's wrong from what's right
He took her home to meet his mama and papa
Man, he had a terrible fight
Louie nearly caused a scene
Wishin' it was a dream
Ain't no diff'rence between black and white
Brothers, you know what I mean
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
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Commentaires
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1 commentaire
morpheeLe 07/06/2022 à 18:33
J'ai longtemps cherché qui chantait ce titre, l'un de mes préférés des années 1970 (et qui n'a aucun lien, ni même fraternel, avec le Brother Louie des Modern Talking), en cherchant vainement dans la discographie occulte de Rod Stewart ou des Faces… Finalement ce clone vocal s'appelle Ian Lloyd, également bassiste de ce groupe new yorkais méconnu, que l'on peut considérer comme one-hit-wonder, mis à part une reprise plutôt correcte de Mamy Blue.
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J'ai longtemps cherché qui chantait ce titre, l'un de mes préférés des années 1970 (et qui n'a aucun lien, ni même fraternel, avec le Brother Louie des Modern Talking), en cherchant vainement dans la discographie occulte de Rod Stewart ou des Faces… Finalement ce clone vocal s'appelle Ian Lloyd, également bassiste de ce groupe new yorkais méconnu, que l'on peut considérer comme one-hit-wonder, mis à part une reprise plutôt correcte de Mamy Blue.
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