Les cookies nous permettent de personnaliser le contenu du site, les annonces publicitaires et d'analyser notre trafic. Nous partageons également des informations avec nos partenaires, de publicité ou d'analyse mais aucune de vos données personnelles (e-mail, login).
 

Fiche disque de ...



The Beautiful South - Song for whoever

Voir du même artiste


Titre : Song for whoever


Année : 1989


Auteurs compositeurs : David Rotheray - Paul Heaton


Pochette : Jan Saudek / Lawrence Watson


Durée : 6 m 9 s


Label : Go! Discs


Référence : FGOLP 16 (LP) / 874 486-7 (45 tours France)



Présentation : Premier succès de ce groupe de Hull fondé par deux anciens membres de Housemartins, extrait de leur premier album "Welcome to the Beautiful South". Il s'agit donc ici de la version LP.

Plus d'infos

Écouter le morceau
Partager ce morceau

10 personnes ont cette chanson dans leurs favoris !

Se procurer ce disque via CDandLP.com:

Paroles

I love you from the bottom of my pencil case
I love you in the songs I write and sing
Love you because you put me in my rightful place
And I love the PRS cheques that you bring

Cheap, never cheap
I'll sing you songs till you're asleep
When you've gone upstairs I'll creep
And write it all down
Down, down, down…

Oh Shirley, oh Deborah, oh Julie, oh Jane
I wrote so many songs about you
I forget your name (I forget your name)

Jennifer, Alison, Phillipa, Sue,
Deborah, Annabel, too
(I forget your name)
Jennifer, Alison, Phillipa, Sue,
Deborah, Annabel, too
(I forget your name)

I love you from the bottom of my pencil case
I love the way you never ask me why
I love to write about each wrinkle on your face
And I love you till my fountain pen runs dry

Deep, so deep,
The number one I hope to reap
Depends upon the tears you weep,
So cry, lovey cry
Cry, cry, cry

Oh Cathy, oh Alison, oh Phillipa, oh Sue
You made me so much money,
I wrote this song for you
(I wrote this song for you)

Jennifer, Alison, Phillipa, Sue,
Deborah, Annabel, too
(I wrote this song for you)
Jennifer, Alison, Phillipa, Sue,
Deborah, Annabel, too
(I wrote this song for you)

Oh Cathy, oh Alison, oh Phillipa, oh Sue
You made me so much money,
I wrote this song for you
(I wrote this song for you)

Jennifer, Alison, Phillipa, Sue,
Deborah, Annabel, too
(I wrote this song for you)
Jennifer, Alison, Phillipa, Sue,
Deborah, Annabel, too
(I wrote this song for you)

For you, for you…
I wrote this song for you

So let me talk about Mary, a sad story,
I turned her grief into glory
So let me talk about Mary, a sad story,
I turned her grief into glory
Late at night, by the typewriter light
She ripped his ribbon to shreds
Late at night, by the typewriter light
She ripped his ribbon to shreds

So let me talk about Mary, a sad story,
I turned her grief into glory
So let me talk about Mary, a sad story,
I turned her grief into glory
Late at night, by the typewriter light
She ripped his ribbon to shreds
Late at night, by the typewriter light
She ripped his ribbon to shreds

So let me talk about Mary, a sad, sad, sad story,
I turned her grief into glory
So let me talk about Mary, a sad story,
I turned her grief into glory
Late at night, by the typewriter light
She ripped his ribbon to shreds
Late at night, by the typewriter light
She ripped his ribbon to shreds

I wrote this song for you
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
Nous nous engageons à en retirer l'affichage en cas de demande de leur part.
 

Commentaires

Voir tous les commentaires

1 commentaire
morphee Le 25/03/2022 à 20:00
A l'époque, j'adorais cette chanson "du plus profond de ma trousse" (sic) de lycéen, et la réécouter par hasard la semaine passée m'a fait l'effet d'une madeleine proustienne.
Groupe qui, jusqu'à présent, était curieusement absent de la base de Bide et Musique, malgré ce titre qui sent bon la pop romantique typiquement anglaise des années 1980 mais qui, en fait, est un chef d'œuvre d'ironie et dont le clip, plus que la chanson, dénonçait avec un certain cynisme le show-business.
De fait, le titre oscille en permanence entre le magnifique (Dave Hemingway, ex-batteur des Housemartins chante quand même merveilleusement bien sur ce titre) et le grand n'importe quoi. On a certainement la phrase introductive la plus bidesque de toute la pop britannique ("I love you from the bottom of my pencil case"… Wtf? un poème écrit par Paul Heaton à l'école? Un private joke? ). Mention spéciale également pour la phrase sur les "PRS cheques" (droits SACEM en anglais), d'une grande classe, qui contraste avec les deux très beaux vers qui la précède… Avec "The number one I hope to reap", on a une sorte de "Allongés sur les vagues" de Renaud ou de Parodisiak made in England, c'est-à-dire une critique des charts et des Top 50 qui dominaient l'industrie musicale des années 1980. C'est tout de même très audacieux comme choix, après avoir trouvé une mélodie aussi sublime, d'en avoir fait une chanson parodique tournant en dérision toutes les chansons romantiques dédiées à une femme. Ainsi, les deux chanteurs du groupe remercient, de façon cynique toutes ces filles aux prénoms uniques pour leur avoir fait gagner tant d'argent! C'est con, mais j'ai toujours adoré ce décalage entre une chanson qu'on a envie d'adorer pour ses qualités musicales et des paroles quelque peu surréalistes !
En plus de leur humour, le groupe était quand même particulièrement doué pour les harmonies et les duos vocaux, comme ici entre les deux ex-Housemartins, et surtout sur les titres où chante la choriste Briana Corrigan (dont "A little time", une autre merveille n°1 en Angleterre mais non classée en France sur leur deuxième album).

Le clip, dont la star est une crème blanc-mangé :



Une version live de 2017, avec le co-auteur Paul Heaton, qui après le split de Beautiful South en 2007, a fait des disques en duo avec la non moins sublime Jacqui Abbott, l'autre voix féminine du groupe qui avait remplacé Briana Carrigan sur les derniers albums:


Il faut être identifié pour ajouter un commentaire !