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Six heures d'affilée
Et toujours personne à qui parler.
Ma berline perce la nuit.
Ce sacré moteur, drôle de roulis.
Le cendrier est plein.
Je fume, je le sais, c'est malsain.
Et j'ouvre encore un nouveau paquet,
Mon allume-cigare marche bien !
(Refrain)
Je garde en otage
Le souvenir de vous
Qui pousse mon courage
Le long du garde-fou.
Je me fous des étoiles
De l'été qui est doux :
Conneries pour poète à deux roues,
J'en ai quatre sur ce biniou !
Autoroute à deux voies,
Autoradio, morceaux bidons.
Je joue, très maladroit,
Dessus le clavier des stations.
(Au refrain)
Crispé sur le volant
Deux phares qui semblent
Sondent et s'enfoncent.
Je fais partie des vivants
Et je veux rester dans ce monde.
Faut pas dormir.
Faut pas dormir.
Le cendrier est plein.
Je fume, je le sais, c'est malsain
Et j'ouvre encore un nouveau paquet
Mon allume-cigare marche bien !
Faut pas… Faut pas dormir.
Six heures d'affilée
Et toujours personne à qui parler
Ma berline perce la nuit.
Ce sacré moteur, drôle de roulis…….
[Paroles diffusées avec l'aimable autorisation de Maurice Reverdy]
La pochette aurait pu etre l'affiche de DUEL de Spielberg !
Tiens, on dirait du Voulzy !
Mon allume-cigare marche bien… Qu'est-ce qu'il entend par là exactement?
Hmm, très belle image et belle chanson… ah la route….
Moi je trouve qu'il y a aussi un peu de François Valery.
on dirait la voix de Voulzy…
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