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Fiche disque de ...



Maxime Le Forestier - Le fantôme

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Titre : Le fantôme


Interprète : Maxime le Forestier


Année : 2005


Auteurs compositeurs : Georges Brassens


Durée : 3 m 34 s


Label : Polydor


Référence : 983 438 3


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Paroles

C'était tremblant, c'était troublant
C'était vêtu d'un drap tout blanc
Ça présentait tous les symptômes
Tous les dehors de la vision
Les faux airs de l'apparition
En un mot, c'était un fantôme
A sa manière d'avancer
A sa façon de balancer
Les hanches quelque peu convexes
Je compris que j'avais affaire
A quelqu'un du genr' que j'prefère
A un fantôme du beau sexe
Je suis un p'tit poucet perdu
Me dit-ell', d'un' voix morfondue
Un pauvre fantôme en déroute
Plus de trace des feux follets
Plus de trace des osselets
Dont j'avais jalonné ma route
Des poèt's sans inspiration
Auront pris quelle aberration
Mes feux follets pour des étoiles
De pauvres chiens de commissaire
Auront croqué quelle misère !
Mes oss'lets bien garnis de moelle
A l'heure où le coq chantera
J'aurai bonn' mine avec mon drap
Hein de faux plis et de coutures
Et dans ce siècle profane où
Les gens ne croient plus guère à nous
On va crier à l'imposture
Moi, qu'un chat perdu fait pleurer
Pensez si j'eus le cœur serré
Devant l'embarras du fantôme
Venez, dis-je en prenant sa main
Que je vous montre le chemin
Que je vous reconduise at home
L'histoire finirait ici
Mais la brise, et je l'en r'mercie
Troussa le drap d'ma cavalière
Dame, il manquait quelques oss'lets
Mais le reste, loin d'être laid
Etait d'un' grâce singulière
Mon Cupidon, qui avait la
Flèche facile en ce temps-là
Fit mouche et, le feu sur les tempes
Je conviai, sournoisement
La belle à venir un moment
Voir mes icônes, mes estampes
Mon cher, dit-ell', vous êtes fou
J'ai deux mille ans de plus que vous
Le temps, madam', que nous importe
Mettant le fantôm' sous mon bras
Bien enveloppé dans son drap
Vers mes pénates je l'emporte
Eh bien, messieurs, qu'on se le dis
Ces belles dames de jadis
Sont de satanées polissonnes
Plus expertes dans le déduit
Que certain's dames d'aujourd'hui
Et je ne veux nommer personne
Au p'tit jour on m'a réveillé
On secouait mon oreiller
Avec un' fougu' plein' de promesses
Mais, foin des dédic's de Capoue
C'était mon père criant : " Debout
Vains dieux, tu vas manquer la messe
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
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