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Les portes en ville sont ornées d'or
De guirlandes, de fleurs et de fruits
Ces rochers vous indiquent mieux encore
Cette image au vertige enchanteur
Les yeux fixés vers le ciel
Une fleur dans les cheveux
je contemple cet univers
Ses horizons son lit sauvage
Mon aventure dans cette ville
A soulevé de gloire ma plume
Et je m'inquiète du sort de ce décor
Qui sera la lecture de ma vie future
Le reflet de son image
Est la vie des oiseaux
Le parfum de ce paysage
Restera dans nos mémoires
Le printemps garde son aspect
Et ici les pluies ne se fâchent pas
Sur la brèche on admire
Les roseaux aux toisons d'or
refrain
Cette image au goût sauvage
Chasse tous nos regrets
La beauté et la fleur des bois
Cache parfois tous ses secrets
Ma musique monte au ciel
Mes souvenirs aussi
À tous ceux qui ont connu
Comme moi le vrai bonheur
Transcripteur : hre mgþýe
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Commentaires
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6 commentaires
DjManoloLe 29/03/2021 à 21:40
Le vrai bonheur, c'est écouter un disque Gamm !
hre mgbyeLe 29/03/2021 à 23:06
Elle ne chante pas mal du tout, l'accompagnement est plausible et cette demoiselle ne semble pas issue d'une longue lignée de mariages consanguins, ce qui enlève un peu d'intérêt à la chanson, par contre le texte vaut son pesant de métaphores mal enfilées : une chose est certaine, c'est qu'il est tellement plus mieux d'éradiquer les tentacules de la déréliction et tout deviendra clair.
morpheeLe 30/03/2021 à 03:22
"S'avoir aimer": depuis 10 minutes j'essaie de me souvenir si j'ai déjà vu le verbe avoir sous la forme pronominale et quel sens y donner… Obispo et Pagny font petit joueur avec leur chanson h'omonyme…
hre mgbyeLe 30/03/2021 à 07:10
Punaise, j'avais pas fait gaffe à cette apostrophe qui donne, effectivement, au titre de la face B une dimension de mystère insondable. La question est de savoir si c'est l'apostrophe ou l'infinitif qui disjonctent, mais ça confirme qu'avec Gamm, même quand on est proches du sans-fautes, il y a toujours un petit détail qui nous sort de l'ordinaire. Reste à savoir si cette face B tient les promesses de son titre. Manuuuuuuuuuuu ?
JaspionLe 01/04/2021 à 10:16
Je me suis posé la même question. Deux possibilités:
1) C'est juste "savoir aimer" avec une faute.
2) La vraie signification du titre est "S'être aimés" mais avec le mauvais auxiliaire.
morpheeLe 02/04/2021 à 18:09
Second couplet : je pense qu'elle chante : "je contemple cet univers, ses horizons, son lit sauvage".
Je ne sais pas si c'est elle l'auteure, mais Il y a un vrai talent littéraire qui nous change des projecteurs et des lasers.
[Ils ne lui ont pas encore tourné la tête ! DjManolo]
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Elle ne chante pas mal du tout, l'accompagnement est plausible et cette demoiselle ne semble pas issue d'une longue lignée de mariages consanguins, ce qui enlève un peu d'intérêt à la chanson, par contre le texte vaut son pesant de métaphores mal enfilées : une chose est certaine, c'est qu'il est tellement plus mieux d'éradiquer les tentacules de la déréliction et tout deviendra clair.
"S'avoir aimer": depuis 10 minutes j'essaie de me souvenir si j'ai déjà vu le verbe avoir sous la forme pronominale et quel sens y donner… Obispo et Pagny font petit joueur avec leur chanson h'omonyme…
Punaise, j'avais pas fait gaffe à cette apostrophe qui donne, effectivement, au titre de la face B une dimension de mystère insondable. La question est de savoir si c'est l'apostrophe ou l'infinitif qui disjonctent, mais ça confirme qu'avec Gamm, même quand on est proches du sans-fautes, il y a toujours un petit détail qui nous sort de l'ordinaire. Reste à savoir si cette face B tient les promesses de son titre. Manuuuuuuuuuuu ?
Je me suis posé la même question. Deux possibilités:
1) C'est juste "savoir aimer" avec une faute.
2) La vraie signification du titre est "S'être aimés" mais avec le mauvais auxiliaire.
Second couplet : je pense qu'elle chante : "je contemple cet univers, ses horizons, son lit sauvage".
Je ne sais pas si c'est elle l'auteure, mais Il y a un vrai talent littéraire qui nous change des projecteurs et des lasers.
[Ils ne lui ont pas encore tourné la tête ! DjManolo]
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