Les cookies nous permettent de personnaliser le contenu du site, les annonces publicitaires et d'analyser notre trafic.
Nous partageons également des informations avec nos partenaires, de publicité ou d'analyse
mais aucune de vos données personnelles (e-mail, login).
Dans un désert de béton bleu, bien médiéval
Comme dans un palais de cristal
Là où tournait toujours, toujours, comme un cheval
L'énorme moteur sourd, infernal
Je vivais là, le jour, la nuit
Dans la centrale, j'étais
L'épouvantail, mort sur la paille
A une longue vie de labeur et de semailles,
Moi j'ai préféré le goût de la paille
Là où tourne, tourne, toujours, comme un cheval
Le grand moteur sourd de la centrale
Je t'attends là, le jour, la nuit
Dans la centrale, je suis
L'épouvantail, mort sur la paille.
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
Nous nous engageons à en retirer l'affichage en cas de demande de leur part.
Commentaires
Voir tous les commentaires
Pas de commentaires !
Il faut être identifié pour ajouter un commentaire !
Il faut être identifié pour ajouter un commentaire !