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Dans la maison de monsieur l'ogre
Je me suis fait manger un pied
Dans la maison de monsieur l'ogre
Je me suis fait manger deux pieds
Maintenant je marche sur les mains
ça fait bien rire tous mes copains
Dans la maison de monsieur l'ogre
Je me suis fait manger un genou
Dans la maison de monsieur l'ogre
Je me suis fait manger deux genoux
Adieu la gym et les prières
Je peux rêver le nez en l'air
Dans la maison de monsieur l'ogre
Je me suis fait manger un bras
Dans la maison de monsieur l'ogre
Je me suis fait manger deux bras
Maintenant j'nai plus besoin de gants
Et j'attrape tout avec les dents
Dans la maison de monsieur l'ogre
Je me suis fait manger un doigt
Dans la maison de monsieur l'ogre
Je me suis fait manger dix doigts
Fini les gammes et le piano
J'préfère écouter la radio
Dans la maison de monsieur l'ogre
Je me suis fait manger un zieu
Dans la maison de monsieur l'ogre
Je me suis fait manger deux yeux
Maintenant je ne lis plus la nuit
ça m'fais faire des économies
Dans la maison de monsieur l'ogre
Je me suis fait manger une zoreille
Dans la maison de monsieur l'ogre
Je me suis fait manger deux zoreilles
Le prof ne peut plus m'les tirer
J'ai même plus besoin d'écouter
Dans la maison de monsieur l'ogre
Je me suis fait manger le cœur
Dans la maison de monsieur l'ogre
Je me suis fait manger le cœur
Maintenant je n'aime plus personne
Non, je n'aime plus personne (x3)
Transcripteur : FrVi
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Commentaires
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7 commentaires
Hilaneste LefurionLe 24/06/2012 à 20:30
Contribution de mon voisin du dessus… Merci à lui !
Claude BukowskiLe 24/06/2012 à 21:13
Les paroles seraient-elles de Michel Tournier, l'auteur de "Vendredi ou les limbes du Pacifique", du "Roi des aulnes" et de tant d'autres livres souvent ambigus ? Cela ne m'étonnerait guère.
LèzLe 25/06/2012 à 08:24
"La fugue du Petit-Poucet" a été un beau conte pour enfants
Le narrateur était Michel Drucker et chaque texte avait été écrit par les élèves de certaines écoles et la mise en musique par Claude Engel et toute la clique Gotainerienne.
Parmi les interprèttes, Souchon, Savage, Renaud, Gotainer et quelques autres
Ça avait été édité afin d'aider la Croix Rouge
Reste à savoir si ça a eu assez de succès pour apporter un joli don à cette association
fabouzeLe 29/06/2012 à 15:27
On reconnaît bien la patte de Claude Engel, en tout cas. Les saillies musicales entre les couplets ressemblent grave à du Gotainer.
gibyLe 02/07/2012 à 16:04
On remarque qu'elle se fait manger les bras avant les doigts… à quoi ces derniers tenaient-ils ?
Claude BukowskiLe 16/07/2012 à 21:04
Les "saillies musicales" me rappellent aussi curieusement ce titre fabuleux (également dans mes favoris, il n'y a pas de hasard). Rien à voir pourtant en ce qui concerne le compositeur.
scaracrabeLe 03/12/2018 à 12:38
Les paroles affreuses déclamées sur un ton innocent font aussi penser à J'étais venue pour dire bonjour de Amélie Morin.
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Contribution de mon voisin du dessus… Merci à lui !
Les paroles seraient-elles de Michel Tournier, l'auteur de "Vendredi ou les limbes du Pacifique", du "Roi des aulnes" et de tant d'autres livres souvent ambigus ? Cela ne m'étonnerait guère.
"La fugue du Petit-Poucet" a été un beau conte pour enfants
Le narrateur était Michel Drucker et chaque texte avait été écrit par les élèves de certaines écoles et la mise en musique par Claude Engel et toute la clique Gotainerienne.
Parmi les interprèttes, Souchon, Savage, Renaud, Gotainer et quelques autres
Ça avait été édité afin d'aider la Croix Rouge
Reste à savoir si ça a eu assez de succès pour apporter un joli don à cette association
On reconnaît bien la patte de Claude Engel, en tout cas. Les saillies musicales entre les couplets ressemblent grave à du Gotainer.
On remarque qu'elle se fait manger les bras avant les doigts… à quoi ces derniers tenaient-ils ?
Les "saillies musicales" me rappellent aussi curieusement ce titre fabuleux (également dans mes favoris, il n'y a pas de hasard). Rien à voir pourtant en ce qui concerne le compositeur.
Les paroles affreuses déclamées sur un ton innocent font aussi penser à J'étais venue pour dire bonjour de Amélie Morin.
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