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C'est tellement rare de citer un philosophe, surtout lui, que je le mets avec la bonne orthographe dans les paroles :
Que n'avez-vous écrit avec de l'encre rose ?
Vous tentez d'égayer votre prose morose
Pour celui qui atteint votre affreux pessimisme
Le surnom de raseur n'est qu'un doux euphémisme
Si j'en juge d'après le sommeil qui me gagne
Vous pourriez, cher Monsieur, faire gonfler des montagnes
REFRAIN
Moi moi moi moi moi moi
Monsieur Schopenhauer
Je veux profiter de la vie
S'il faut qu'un jour ou l'autre l'on meurt
Pourquoi mourir d'ennui ?
Je constate au matin le fait que je respire
Et que j'ai moins envie de pleurer que de rire
Je ne suis très fond que devant la souffrance
On m'arrache une dent, donc je suis, donc je pense
REFRAIN
Quand je tiens dans mes bras une fille que j'aime
Je ne lui parle pas de pénibles problèmes
Nous partons éblouis vers de très hautes sphères
En sachant néanmoins d'où nous vient la lumière
REFRAIN +
Monsieur Schopenhauer
Je veux profiter de la vie
S'il faut qu'un jour ou l'autre on meurt
Mieux vaut ne pas mourir d'ennui
Transcripteur : Dam-Dam
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
Nous nous engageons à en retirer l'affichage en cas de demande de leur part.
Claude BukowskiLe 16/12/2011 à 18:13
Oui, mais bon ; il existe selon Schopenhauer deux modes d'Etre : la Représentation et la Volonté (ben oui, fallait y penser !) ; détail primordial, que cette chanson ne souligne pas assez.
Tiens, d'ailleurs je me demande où ils ont été chercher ce second "P" ; oui non pas là, c'est bon.
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Oui, mais bon ; il existe selon Schopenhauer deux modes d'Etre : la Représentation et la Volonté (ben oui, fallait y penser !) ; détail primordial, que cette chanson ne souligne pas assez.
Tiens, d'ailleurs je me demande où ils ont été chercher ce second "P" ; oui non pas là, c'est bon.
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