Les cookies nous permettent de personnaliser le contenu du site, les annonces publicitaires et d'analyser notre trafic.
Nous partageons également des informations avec nos partenaires, de publicité ou d'analyse
mais aucune de vos données personnelles (e-mail, login).
Sois sage, ô ma douleur, et tiens-toi plus tranquille.
Tu réclamais le soir ; il descend ; le voici
Une atmosphère obscure enveloppe la ville,
Aux uns portant la paix, aux autres le souci
Pendant que des mortels la multitude vile
Sous le fouet du plaisir, ce bourreau sans merci
Va cueillir des remords dans la fête servile,
Ma douleur, donne-moi la main ; viens par ici
Loin d'eux.
Vois se pencher les défuntes années
Sur les balcons du ciel, en robes surannées
Surgir du fond des eaux le regret souriant
Le soleil moribond s'endormir sous une arche,
Et, comme un long linceul traînant à l'Orient,
Entends, ma chère, entends la douce nuit qui marche
Transcripteur : Dam-Dam
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
Nous nous engageons à en retirer l'affichage en cas de demande de leur part.
Commentaires
Voir tous les commentaires
1 commentaire
Dam-DamLe 05/09/2011 à 19:24
Le texte de Baudelaire, donc, en strophes selon la chanson : [Merci !] ♫
Il faut être identifié pour ajouter un commentaire !
Le texte de Baudelaire, donc, en strophes selon la chanson : [Merci !] ♫
Il faut être identifié pour ajouter un commentaire !