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A tout petits pas monsieur le chat s'en va par les gouttières
En catimini tout petits bruits sous les rayons lunaires
Il vient vous voler les milles éclats d'une étoile de pierre
Monsieur le chat est cambrioleur
Au mépris des lois de l'apesanteur
Car monsieur le chat a peur dans les ascenseurs
Ah dieu quel effroi ces deux yeux froids ouverts en meurtrières
Mais dans son grand lit le banquier, lui, a fermé les paupières
Le coffre a volé en mille éclats de sons, de lumière
refrain
Après son exploit le revoilà chargé d'or et de pierres
Mais gare au fusil braqué sur lui qui fait feu par derrière
Il s'est envolé dans les éclats de toits en verrières
refrain bis
Transcripteur : hre mgbye
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Claude BukowskiLe 11/08/2009 à 21:55
Etonnante pochette, elle semble inspirée par Dali.
Peu commun pour l'époque, du moins pour ce style de musique, qui à la base n'a pas souvent de prétentions intellos (et c'est tant mieux !). Année 1969, est-ce l'influence du psychédélisme, qui aurait essaimé même chez les yé-yé ?
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Etonnante pochette, elle semble inspirée par Dali.
Peu commun pour l'époque, du moins pour ce style de musique, qui à la base n'a pas souvent de prétentions intellos (et c'est tant mieux !). Année 1969, est-ce l'influence du psychédélisme, qui aurait essaimé même chez les yé-yé ?
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