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Vous qui restez si bien de glace
Souffrez que mes mots dépassent
Le peu de raison que je tienne
Quand vous laissez ma peine
En disgrâce.
Devant votre indifférence
Je perds un amour immense
Pour lequel j'avais au départ
Comme au jeu de hasard
Peu de chance.
REFRAIN:
Long est le chemin
Qui me mène vers le nouveau monde
Aussi longue est la nuit
Qui me fait penser à vous.
Même les Princes des Maisons de France
Avec leurs magnificences
N'égaleront jamais en vous
Cet orgueil qui se joue
D'insolence.
Des opéras de misère
Vous feront gloire de l'enfer
Où je vais tomber à genoux
En découvrant le goût
De l'absence.
REFRAIN
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
Nous nous engageons à en retirer l'affichage en cas de demande de leur part.
virgulioLe 20/04/2008 à 16:39
Extrait d'un album ("Univers", me semble-t-il) uniquement disponible en CD à sa sortie, ce qui confirmait le côté classique de l'œuvre, mais c'était assez risqué car à l'époque (1987), tous les foyers français n'étaient pas forcément équipés. Pari gagné car 'album fit un beau parcours dans le Top 30.
BillyshellLe 22/04/2008 à 15:33
L'album était aussi disponible en Vinyle, mais c'est évidemment la version CD qui a primé. Détail anecdotique: Dans sa conception l'album avait encore la notion de Face A et Face B, ce qui avec l'arrivée du CD ne voulait plus rien dire :-)…
Marie-AngeLe 09/10/2008 à 23:58
Magnifique titre !
pjtuloupLe 10/10/2008 à 00:00
A Billy shell: Ah bon ?! Je comprends maintennat ce que j'ai perdu comme temps en essayant de lire les faces B des CD !!! On ne me dit jamais rien à moi !!!
timothy-archerLe 02/01/2011 à 20:29
Merveilleuse chanson , que j'écoute souvent avec d'autres albums de william sheller pendant mes nuits dans mon atelier a peindre…
ChezodLe 20/08/2011 à 11:36
J'étais en terminale… C'était le grand retour de Sheller et je ne me lassais pas de l'écouter.
A chaque fois que j'écoute cette chanson, je me rappelle d'un grand type tout boutonneux, les cheveux huileux, et toujours habillé pareil qui s'appelait Jean-Marie. Ce gars était insignifiant et cumulait les années de retard (3 ou 4, je ne me rappelle pas).
A chaque fois que la chanson passait, dès que William disait :
"Et même les Princes des Maisons de France ; Avec leurs magnificences…"
L'individu sus nommé bombait le torse, se redressait et faisait un sourire débile !
Je n'ai jamais su pourquoi ! Il n'y avait pas de rapport direct vu que son nom était des plus courants et banals.
Le pire est que deux ou trois types de ses amis adoptaient alors le même sourire niais et complice !!!
J'ai pas compris l'astuce. Il faut dire que je ne lui adressais pratiquement jamais la parole et que nous n'étions pas dans le même groupe.
michacalLe 17/12/2011 à 19:01
une singulière mais parfaite intrusion du classique dans la variété. Belle maitrise musicale pour un titre très réussi
cherrysalsaLe 01/10/2023 à 20:36
Je trouve ce morceau extraordinaire.
Tout comme l'album "Univers", d'ailleurs.
Tiens, d'ailleurs, "Ailleurs" est le disque qui suivra juste après dans la carrière de Monsieur William.
Pour en revenir à ce titre, quel dommage que la longue introduction de 1 minute 30 ait été effacée pour la version 45T. Elle donnait le ton et la mise en route de l'ensemble avec un premier palier de graduation avant que ça s'emballe.
Et sinon, à chaque fois que je l'écoute, dès que la guitare saturée de Claude Salmiéri arrive et que la batterie de Renaud Hantson se fait rock, au milieu des cordes et du chœur, j'entends mes cheveux qui repoussent (bien pratique).
1nonos1Le 01/10/2023 à 20:55
Un chef d'œuvre en effet je l'écoute encore régulièrement.
Il faut être identifié pour ajouter un commentaire !
Extrait d'un album ("Univers", me semble-t-il) uniquement disponible en CD à sa sortie, ce qui confirmait le côté classique de l'œuvre, mais c'était assez risqué car à l'époque (1987), tous les foyers français n'étaient pas forcément équipés. Pari gagné car 'album fit un beau parcours dans le Top 30.
L'album était aussi disponible en Vinyle, mais c'est évidemment la version CD qui a primé. Détail anecdotique: Dans sa conception l'album avait encore la notion de Face A et Face B, ce qui avec l'arrivée du CD ne voulait plus rien dire :-)…
Magnifique titre !
A Billy shell: Ah bon ?! Je comprends maintennat ce que j'ai perdu comme temps en essayant de lire les faces B des CD !!! On ne me dit jamais rien à moi !!!
Merveilleuse chanson , que j'écoute souvent avec d'autres albums de william sheller pendant mes nuits dans mon atelier a peindre…
J'étais en terminale… C'était le grand retour de Sheller et je ne me lassais pas de l'écouter.
A chaque fois que j'écoute cette chanson, je me rappelle d'un grand type tout boutonneux, les cheveux huileux, et toujours habillé pareil qui s'appelait Jean-Marie. Ce gars était insignifiant et cumulait les années de retard (3 ou 4, je ne me rappelle pas).
A chaque fois que la chanson passait, dès que William disait :
"Et même les Princes des Maisons de France ; Avec leurs magnificences…"
L'individu sus nommé bombait le torse, se redressait et faisait un sourire débile !
Je n'ai jamais su pourquoi ! Il n'y avait pas de rapport direct vu que son nom était des plus courants et banals.
Le pire est que deux ou trois types de ses amis adoptaient alors le même sourire niais et complice !!!
J'ai pas compris l'astuce. Il faut dire que je ne lui adressais pratiquement jamais la parole et que nous n'étions pas dans le même groupe.
une singulière mais parfaite intrusion du classique dans la variété. Belle maitrise musicale pour un titre très réussi
Je trouve ce morceau extraordinaire.
Tout comme l'album "Univers", d'ailleurs.
Tiens, d'ailleurs, "Ailleurs" est le disque qui suivra juste après dans la carrière de Monsieur William.
Pour en revenir à ce titre, quel dommage que la longue introduction de 1 minute 30 ait été effacée pour la version 45T. Elle donnait le ton et la mise en route de l'ensemble avec un premier palier de graduation avant que ça s'emballe.
Et sinon, à chaque fois que je l'écoute, dès que la guitare saturée de Claude Salmiéri arrive et que la batterie de Renaud Hantson se fait rock, au milieu des cordes et du chœur, j'entends mes cheveux qui repoussent (bien pratique).
Un chef d'œuvre en effet je l'écoute encore régulièrement.
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