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You leave in the morning
With everything you own
In a little black case
Alone on a platform
The wind and the rain
On a sad and lonely face
Mother will never understand
Why you had to leave
But the answers you seek
Will never be found at home
The love that you need
Will never be found at home
Run away, turn away, run away, turn away, run away.
Run away, turn away, run away, turn away, run away.
Pushed around and kicked around
Always a lonely boy
You were the one
That they'd talk about around town
As they put you down
And as hard as they would try
They'd hurt to make you cry
But you never cried to them
Just to your soul
No you never cried to them
Just to your soul
Run away, turn away, run away, turn away, run away.
Run away, turn away, run away, turn away, run away.
Cry , boy, cry…
You leave in the morning
With everything you own
In a little black case
Alone on a platform
The wind and the rain
On a sad and lonely face
Run away, turn away, run away, turn away, run away.
Run away, turn away, run away, turn away, run away
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gouduriskLe 17/07/2007 à 13:31
Le preimier titre ouvertement revendicatif de la cause gay par Bronski Beat, relatant l'exode d'un jeune homme esseulé dans une petite ville de province, mis à l'index par toute la population à cause de sa "différence".
Le single carton "Why" suivant ira encore plus loin dans la revendication.
seb1971Le 08/11/2008 à 11:37
13 ans à l'époque, mais je ressens toujours le même plaisir quand j'entends ce super titre… Et je me rappelle évidemment de la contrepèterie…
didoodaLe 10/03/2010 à 13:59
Ce titre a été samplé par la suédoise September pour son hit "Cry for You". Une sorte d'elixir de jouvence pour ce titre d'un groupe au nom peu glamour (en français celà va de soi)
lechuckLe 23/12/2016 à 18:56
Une chanson, que dis-je un manifeste indissociable du clip qui l'illustre.. Plus belle la vie ailleurs.
vvfdLe 20/02/2020 à 09:13
Un lien vers le magnifique clip que je trouvais à la fois joli et inquiétant à l'époque (j'avais 19 ans) et que je ne comprenais pas dans sa totalité disons le (j'étais assez naïf sur certains point on va dire…)
virgulioLe 22/05/2022 à 19:13
Vvfd, moi j'avais 9 ans, encore plus de raisons que toi d'être naïf J'ai en effet compris pourquoi il avait été arrête par le "Bobby" . Eh oui, il n'y a pas eu que du tabassage dans l'impasse…
hre mgbyeLe 08/02/2024 à 16:48
On pourrait enchaîner cette chanson avec « Fun city » de Soft Cell & The Mambas derrière, puisque la seconde reprend là où la première se termine : l'arrivée dans la grande ville et les désillusions qui s'ensuivent, même si chez Soft Cell, c'est moins vu sous un angle homo (ou du moins pas explicitement) que sous celui du provincial qui s'émancipe à la grande ville.
Par contre, contrairement à VVFD et Virgulio, je ne crois pas qu'il est arrêté par le Bobby, qui semble plutôt bienveillant, mais juste raccompagné chez lui pour qu'il ne lui arrive rien, et pour moi les seuls contacts physiques dans la ruelle étaient totalement dénué de sensualité.
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Le preimier titre ouvertement revendicatif de la cause gay par Bronski Beat, relatant l'exode d'un jeune homme esseulé dans une petite ville de province, mis à l'index par toute la population à cause de sa "différence".
Le single carton "Why" suivant ira encore plus loin dans la revendication.
13 ans à l'époque, mais je ressens toujours le même plaisir quand j'entends ce super titre… Et je me rappelle évidemment de la contrepèterie…
Ce titre a été samplé par la suédoise September pour son hit "Cry for You". Une sorte d'elixir de jouvence pour ce titre d'un groupe au nom peu glamour (en français celà va de soi)
Une chanson, que dis-je un manifeste indissociable du clip qui l'illustre.. Plus belle la vie ailleurs.
Un lien vers le magnifique clip que je trouvais à la fois joli et inquiétant à l'époque (j'avais 19 ans) et que je ne comprenais pas dans sa totalité disons le (j'étais assez naïf sur certains point on va dire…)
Vvfd, moi j'avais 9 ans, encore plus de raisons que toi d'être naïf J'ai en effet compris pourquoi il avait été arrête par le "Bobby" . Eh oui, il n'y a pas eu que du tabassage dans l'impasse…
On pourrait enchaîner cette chanson avec « Fun city » de Soft Cell & The Mambas derrière, puisque la seconde reprend là où la première se termine : l'arrivée dans la grande ville et les désillusions qui s'ensuivent, même si chez Soft Cell, c'est moins vu sous un angle homo (ou du moins pas explicitement) que sous celui du provincial qui s'émancipe à la grande ville.
Par contre, contrairement à VVFD et Virgulio, je ne crois pas qu'il est arrêté par le Bobby, qui semble plutôt bienveillant, mais juste raccompagné chez lui pour qu'il ne lui arrive rien, et pour moi les seuls contacts physiques dans la ruelle étaient totalement dénué de sensualité.
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