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luciecaLe 11/01/2006 à 10:16
de la part d'Eric Canovas à moi, sa fille:
Concernant les paroles, j'en revendique la paternité. Je n'avais pas besoin de quelqu'un pour verser dans le vulgaire, pour cela je savais et je sais encore me débrouiller tout seul. Dommage que les gens ne voient que cela, avec leurs yeux d'aujourd'hui ! Surtout avec la médiatisation des affaires de pédophilie, ils ne peuvent pas remettre dans le contexte de l'époque le thème de cette chanson qui était un clin d'œil à la visite de Madona à Paris. C'est elle qui jetait ses culottes dans le public, pas moi. Alors j'ai inventé une histoire. Je me souviens que Pascal Auriat qui est mort du sida l'était aussi de rire et ça se passait chez lui, il y avait un piano blanc, un quart de queue et un beau mec avec un marcel tout blanc. Je me souviens que le passage où le personnage se shoote au Pernod avait particulièrement l'effet de le plier en deux sur sa chaise.
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de la part d'Eric Canovas à moi, sa fille:
Concernant les paroles, j'en revendique la paternité. Je n'avais pas besoin de quelqu'un pour verser dans le vulgaire, pour cela je savais et je sais encore me débrouiller tout seul. Dommage que les gens ne voient que cela, avec leurs yeux d'aujourd'hui ! Surtout avec la médiatisation des affaires de pédophilie, ils ne peuvent pas remettre dans le contexte de l'époque le thème de cette chanson qui était un clin d'œil à la visite de Madona à Paris. C'est elle qui jetait ses culottes dans le public, pas moi. Alors j'ai inventé une histoire. Je me souviens que Pascal Auriat qui est mort du sida l'était aussi de rire et ça se passait chez lui, il y avait un piano blanc, un quart de queue et un beau mec avec un marcel tout blanc. Je me souviens que le passage où le personnage se shoote au Pernod avait particulièrement l'effet de le plier en deux sur sa chaise.
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