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Jacques Fabre - Le mal de mon cœur

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Titre : Le mal de mon cœur


Année : 1977


Auteurs compositeurs : J.-J. Boileau - M. Bevilacqua


Durée : 2 m 51 s


Label : Productions Olivier


Référence : 990.359


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Paroles

Sur la table de bois réchauffé, une nappe
J'ai mis un chandelier à côté du hanap
Et deux couverts
Dans la cheminée la bûche craque de plaisir
La pendule normande égrène l'attente de mon désir

Le sapin vert que tu as planté un soir devant la fenêtre
Me salue tendrement d'une branche qui pénètre
Dans ta chambre
Où le mur jauni par la respiration de nos amours
T'attend toujours

Peut-être pour demain
Peut-être un autre jour
Ce soir j'ai du chagrin
Ce soir et sans amour
Sans amour

La cuisine parfumée à perdu un peu de son âme
Il lui manque une odeur, celle de toi, d'une femme
C'est le désert
Dans ma solitude je m'accroche à nos souvenirs
J'attends le moment qui te verra enfin revenir
Et c'est Baudelaire qui me parle d'amour
Et me tient conpagnie
J'ai le mal de mon cœur
J'ai le mal de ma vie
Et j'en tremble

Près de l'oreiller qui attend nos deux têtes pour l'amour
J'attends toujours

refrain
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Commentaires

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2 commentaires (dont 1 archivé)
sadapop Le 26/12/2008 à 15:23
Prend un bon café Jacques (sans mauvais jeu de mots) Fabre, et après tu me réciteras tout ça sans musique.
Qu'on étudie un peu cette diction si spéciale qui ne fais pas tout ton charme.
hre mgbye Le 04/06/2009 à 22:51
Bon, il fait du feu mais il laisse la fenêtre ouverte pour que le branche de Sapin entre, pas très logique. Et il boit dans un "Grand vase en métal monté sur un pied et muni d'un couvercle dont on se servait autrefois pour boire" (définition du hanap de la seconde ligne), et lisant du Baudelaire, en toute simplicité. Cette délicatesse contraste avec l'évocation de l'haleine de fennec qu'ils doivent avoir pour décoller, euh non pardon, jaunir avec les murs de la chambre ! (cela dit je comprends mieux pourquoi ils laissent la fenêtre ouverte) [Merci pour les paroles]

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