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Chic

Nationalitéaméricaine
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ses disques

Discographie :

On peut entendre sur Bide&Musique…
par années de sortie | par ordre alphabétique
Dans les programmes spéciaux Vignette de Chic - Dance, Dance, Dance 1977 Dance, Dance, Dance
Hors classement Vignette de Chic - Everybody dance 1977 Everybody dance
Hors classement Vignette de Chic - Le Freak 1978 Le Freak
Hors classement Vignette de Chic - Happy man 1978 Happy man
Hors classement Vignette de Chic - Good times 1979 Good times
Dans les programmes spéciaux Vignette de Chic - I Want Your Love 1979 I Want Your Love
Dans les programmes spéciaux Vignette de Chic - Chic mystique 1992 Chic mystique
Vert Dans la programmation générale Orange Dans les programmes spéciaux Rouge Hors classement Bleu Émissions ou titres (très) spéciaux

Commentaires sur Chic

11 commentaires (dont 1 archivé)
morphee Le 12/09/2002 à 14:54
Groupe new-yorkais (1978-1980) produit par Nile Rodgers et Bernard Edwards
bassmaster Le 13/11/2002 à 15:38
Bernard edwards est décédé en 1991 . Quand a Nile, il a une maison de production sumthing records et continue de produire des artistes americains. Deux grands artistes du Groupe. Mais la tete pensante etait Bernard , ce bassiste aux lignes de basses inoubliables ( good times , Le freak, Everybody dance , Cheer, Mystique… ).
fortysomething Le 15/04/2003 à 00:05
Edwards a dû donner la vocation à un milliard de bassistes en herbe, la ligne de "Good Times" ayant dû être pompée à peu près autant de fois. Funky, sexy Bernie va !!!
Cedomatic Le 09/06/2003 à 19:14
Que dire du Mega-tube mainte fois repris " I want your love " avec sa ligne de basse sublime…..Ahhhhhhhh……çà y est…1 rechute!!!!
kitschman Le 27/07/2003 à 14:23
Désolé, m'sieur le webmaster, merci de faire l'ménage ! Je recommence :
Sans oublier le moins connu "Soup for one" en 1982, pompé par Modjo dans "Lady". Ah, Chic, c'était chic !



barbabapa Le 13/03/2004 à 17:42
que de souvenir….
RickyDeckard Le 27/05/2004 à 01:59
Une des inoubliables références disco ….
goudurisk Le 24/03/2005 à 16:16
Peu de gens pourront contredire le fait que Chic fut l'un des plus grands groupes disco; et alors qu'ils évoluaient dans un monde musical ultra dominé par les producteurs, ils étaient d'abord et avant tout un groupe. Au moment où Chic apparut à la fin des années 70, le disco était déjà en train de goûter aux excès qui allaient causer sa perte. Chic parvint à stopper la tendance en revenant à l'essentiel du disco : leurs grooves funky et leur style avaient un sens organique de l'interaction qui faisait défaut à la plupart de leurs concurrents noyés dans la production. Le son de Chic était ancré dans la guitare rythmique rèche et saccadée façon James Brown de Nile Rodgers et les lignes de basse de référence, toujours honteusement copiées mais jamais égalées de Bernard Edwards. En tant que producteurs eux-même, ils ne faisaient qu'un usage modéré des claviers et enjolivements de cordes afin de préserver le rythme au premier plan. L'approche distincte de Chic leur permit non seulement d'aligner quelques uns des plus grands singles dance du moment mais aussi d'offrir un modèle à l'urban funk, la dance-pop et même le hip-hop dans l'ère post disco. Il n'est donc pas surprenant que Rodgers et Edwards finirent par devenir deux des meilleurs producteurs à succès des 80's.


Rodgers et Edwards se rencontrèrent en 1970, tous deux jeunes musiciens de jazz fraîchement sortis du lycée. Edwards avait suivi les cours de la New York's High School for the Performing Arts et travaillait à cette époque dans un bureau de poste du Bronx, tandis que Rodgers comptait dans sa jeune carrière quelques participations dans le groupe folk New York Rising et dans l'orchestre du Apollo Theater. Vers 1972 Rodgers et Edwards forment un group de jazz-fusion dénommé Big Apple Band. Cette formation travaillait au noir comme groupe de remplacement, partant en tournée avec le groupe de smooth soul New York City dans le sillage de leur succès de 1973 « I'm Doin' Fine Now ».
Après la séparation de New York City, le Big Apple Band prit la route avec Carol Douglas pour quelques mois et finalement Rodgers et Edwards décidèrent de se lancer vers la fin 1976. Leurs aspirations passèrent au début de la fusion à la new wave, donnant quelques représentations sous le nom Allah & the Knife Wielding Punks, mais se révisèrent et se tournèrent résolument vers la dance music. Ils engagèrent le batteur Tony Thompson ainsi que les chanteuses Norma Jean Wright et Alfa Anderson, et changèrent finalement leur nom en « Chic » l'été 1977 pour éviter toute confusion avec Walter Murphy & the Big Apple Band (qui venaient de rencontrer un gros succès avec « a fifth of Beethoven »).

Epaulé en studio par les claviers Raymond Jones et Rob Sabino, Chic enregistra la démo du single « Dance, dance, dance » pour l'envoyer à sept différentes majors, qui toutes déclinèrent l'offre. Le petit label Buddah l'édita finalement fin 1977 en EP 12'' et en suivit une explosion de popularité en club. Atlantic franchit alors le pas, 'signa' le groupe et ré-édita le single à plus large échelle. « Dance, dance, dance » accrocha le Top 10 jusqu'à la sixième position et fit de Chic l'un des groupes disco émergeants les plus en vue. Chic se démena tant bien que mal pour aboutir à leur premier album éponyme qui engendra un tube mineur au début 1978 « Everybody dance ». C'est à ce moment là que Wright décida de quitter le groupe pour une carrière solo, d'ailleurs soutenue par Rodgers et Edwards, et sera remplacé par Luci Martin. Le moment le plus opportun pour monter à bord du navire : « Le Freak », premier single extrait de leur deuxième opus « C'est Chic » est un succès immédiat et fracassant, restant plus de cinq semaines à la première place des charts fin 78, écoulant plus de quatre millions de disques ce qui en fit le plus gros succès jamais rencontré par Atlantic. Dans la foulée ils lancèrent « I want your love » qui accrocha la septième place et renforça le nouveau statut de star de Chic, tandis que « C'est Chic » devenait un des très rares albums disco à être certifié album de platine.

L'album « Risqué » paru en 1979 est un autre LP solidement construit qui deviendra platine en partie grâce au succès d'un autre numéro un des ventes « Good Times ». Ce titre n'a peut-être pas égalé les ventes de « Le Freak » mais est certainement aujourd'hui le titre le plus pillé du groupe. Le hit de Queen « Another one bites the dust » en est une ré-interprétation évidente tandis que Sugarhill Gang extrapola toute l'instrumentale de fond pour le premier single rap commercial « Rapper's Delight », scellant ainsi la première des innombrables fois que Chic serait recyclé dans la mouvance hip-hop. C'est aussi en 1979 que Rodgers et Edwards s'attelèrent à leur première grosse production extérieure, écrivant et produisant pour les Sister Sledge les hits « We are Family » et « He's the greatest dancer » maintes fois samplé. Ce succès leur octroya la chance de collaborer à l'album de Diana Ross en 1980, d'écrire et produire un nouveau numéro un des ventes pour elle depuis des années « Upside Down » ainsi que « I'm coming out ».

La mode disco s'essoufflant rapidement, le LP « Real People » de 1980 ne put atteindre l'or malgré une performance de premier plan de la part du groupe. Les changements de goûts significatifs mirent fin aux jours bénis du groupe alors que la collaboration Edwards – Rodgers à la production d'autres artistes devenaient de plus en plus lucrative et ce malgré l'abandon de projets phares avec Aretha Franklin ou Johnny Mathis. Plusieurs autres albums de Chic suivirent au début des années 80, au talent créatif et au succès en baisse constante ; Rodgers et Edwards démantelèrent le groupe après le fade « Believer » en 1983. Un peu plus tard cette année là, tous deux enregistrèrent un album solo qui firent naufrage corps et âme. Affamé de reconnaissance et de respect du courant dominant rock (tout spécialement après les accusations d'avoir plagié Queen alors que c'est l'inverse qui s'était produit) Rodgers et Edwards se mirent en quête de productions de choix durant le reste de la décennie. Rodgers produisit des albums incontournables tels que « Let's Dance » pour David Bowie, « Like a virgin » pour Madonna et « She's the boss » pour Mick Jaegger. Edwards ne fut pas aussi prolifique en tant que producteur mais néanmoins assista Power Station avec Tony Thompson ainsi que Robert Palmer et certains membres de Duran Duran, fans avoués de Chic. Il produisit plus tard le hit commercial de Robert palmer « Riptide ». On le retrouve avec Rod Stewart « Out of order », Jody Watley et Tina Turner alors que Rodgers compte aussi à son crédit les Thompson Twins, les Vaughan Brothers, INXS, et le retour des B-52's grâce à « Cosmic Thing »

Rodgers et Edwards reformèrent Chic en 1992 dont les voix sont assurées par Sylver Logan Sharp et Jenn Thomas ; plusieurs batteurs seront testés chez Thompson. Ils partirent en tournée et sortirent leur nouvel album « Chic-ism ». En 1996 Chic reconstitué alors en tournée au Japon perdit le 18 avril Edwards, qui succomba à une attaque foudroyante de pneumonie. Rodgers continua à partir de temps en temps avec un pseudo Chic et en 1999 son label Sumthing Else édita un enregistrement de la dernière performance scénique d'Edwardsavec le groupe au Budokan.

Délicate traduction de l'anglais ~ (Merci à Steve Huey, All Music Guide)
frenchic Le 16/06/2005 à 19:12
CHIC est tout simplement à la black music ce que les Beatles sont à la pop, les Stones au rock et Bob Marley au reggae : une référence unanimement respectée et éternellement copiée. En 1979-1980 ils ont décliné l'offre des manager des Rolling Stones de produire le plus grand groupe rock du monde…Pas mal quand même pour des soit disant pti blacks qui font du Disco. Le nouvel album de CHIC est enregistré (dans les anciens studios de ABBA) et devrait sortir en 2005… ou 2006 !!
Le site du French CHIC fan club : www.c-chic.com. Le site de Nile Rodgers : www.nilerodgers.com
goudurisk Le 07/11/2006 à 14:25
Petit complément pour les fins connoisseurs:

ALL TIME GREATEST
Nile Rodgers (rhythm guitar and vocals, 1976-present),
Bernard Edwards (bass and vocals, 1976-1996),
Tony Thompson (drums, 1976-1983)

FULL TIME support
Norma Jean Wright (vocals, 1976-1977),
Luci Martin (vocals, 1978?-1985),
Alfa Anderson (vocals, 1976?-1985),
Audra Lomax (vocals, ?-2002/2003),
Sylver Logan Sharp (vocals, 1992-present),
Jessica Wagner (vocals, 2003-present),
Jenn Thomas (vocals, 1992), Jill Jones (vocals, 1996),
Tawatha Agee (vocals),
Robin Anderson (vocals),
Briz (vocals), Jocelyn Brown (vocals, 1981-1982),
Robin Clark (vocals, 1977),
Michelle Cobbs (vocals, 1979-1982),
Dennis Collins (vocals),
Diva Grey (vocals, 1977-1978),
Curtis King (vocals, 1983),
David Lasley (vocals, 1977-1979),
Ullanda McCullough (vocals, 1979),
Dolette McDonald (vocals, 1982),
Princesa (rap, 1992),
Fonzi Thornton (vocals, 1979-1983),
Luther Vandross (vocals, 1977-1979),
Brenda White-King (vocals, 1983-1992)

ADDITIONNAL support
Jerry Barnes (bass, 1998-present),
Sonny Emory (drums, 1992),
Sterling Campbell (drums, 1992),
Omar Hakim (drums, ?-2003-present),
Sammy Figueroa (percussion, 1977-1982),
Manolo Badrena (percussion),
Roger Squitero (percussion),
Gerardo Velez (percussion, 1992-present),
Jose Rossy (tubular bells, 1978),
David Friedman (orchestral bells, vibes, 1977),
Alfred Brown (strings, 1977),
Gene Orloff (concertmaster, violinist),
Marianne Carroll (strings, 1978),
Karen Milne (strings, 1977-1981),
Cheryl Hong (strings, 1978-1981),
Karen Karlsrud (strings, 1979),
Valerie Heywood (strings, 1979-1981),
Al Brown (strings, 1992),
Matthew Raimondi (strings, 1992),
Richard Sortomme (strings, 1992),
Elena Barere (strings, 1992),
Marti Sweet (strings, 1992),
Juliet Haffner (strings, 1992),
Mitsue Takayama (strings, 1992),
Julien Barbar (strings, 1992),
Frederick Zlotkin (strings, 1992),
Richard Locker (strings, 1992),
Max Ellen (strings, 1992),
Winterton Garvey (strings, 1992),
Regis Iandiorio (strings, 1992),
Gerald Tarack (strings, 1992),
Alex Foster (saxophone, horn, 1978),
Jeanie Fineberg (saxophone, horn, 1978),
Michael Brecker (saxophone),
Ronnie Cuber (saxophone, 1981),
Lenny Pickett (saxophone),
Vinny Della Rocca (saxophone),
Robert Arron (saxophone, 1982),
Stan Harrison (saxophone, 1992),
Steve Elson (saxophone, 1992),
Crispin Cioe (saxophone, 2003),
Bill Holloman (saxophone, ?-1996-present),
Mac Gollehon (trumpet, flugelhorn, 1992-1998-?),
Ray Maldonado (trumpet, flugelhorn, 1982),
Randy Brecker (trumpet, flugelhorn, 1978, 1981),
Jon Faddis (trumpet, 1977-1978),
Ellen Seeling (trumpet, horn, 1978),
Curt Ramm (trumpet, 2003-present),
Barry Rogers (trombone, 1977-1978),
Marty Celay (guitar, 1982),
Tom Coppola (keyboards, 1977),
Robert Sabino (keyboards, clavinet and electric/acoustic piano, 1977-1983),
Andy Schwartz (keyboards, clavinet and electric/acoustic piano, 1977-1982),
Raymond Jones (keyboards, electric piano, 1978-1981),
Richard Hilton (keyboards, 1992-present),
Cherie Mitchell (keyboards, ?-2001-present),
Merline Nelson (keyboards, ?-present),
Gloria Augustini (harp, 1977),
Kenny Lehman (woodwinds, 1977),
Vito Rendace (flute, tenor saxophone, 1977),
George Young (flute, tenor saxophone, 1977)
Number_one Le 01/06/2007 à 23:32
A mettre au même niveau que donna summer.
Indispensable chez tout bon collectionneur

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