Les cookies nous permettent de personnaliser le contenu du site, les annonces publicitaires et d'analyser notre trafic. Nous partageons également des informations avec nos partenaires, de publicité ou d'analyse mais aucune de vos données personnelles (e-mail, login).
 

Fiche disque de ...



Michel Polnareff - Ta-ta-ta-ta

Voir du même artiste


Titre : Ta-ta-ta-ta


Année : 1967


Auteurs compositeurs : M. Polnareff - Frank Gérald


Pochette : Michel Laguens


Durée : 2 m 21 s


Label : Disc'AZ


Référence : EP 1089


Plus d'infos

Écouter le morceau
Partager ce morceau

8 personnes ont cette chanson dans leurs favoris !

Se procurer ce disque via CDandLP.com:

Paroles

Femme que j'aime, c'est ta ta ta ta
Femme que j'aime, mais ce n'est pas toi
Femme que j'aime, c'est ta ta ta ta
Femme que j'aime, mais ce n'est pas toi

Je me dis ton ami
Et pourtant quand tes yeux
Rencontrent les miens
J'ai des remords
Je me sens malheureux
Mais je n'y peux rien

Femme que j'aime, c'est ta ta ta ta
Femme que j'aime, mais ce n'est pas toi
Femme que j'aime, c'est ta ta ta ta
Femme que j'aime, mais ce n'est pas toi

Je voudrais te parler
Pouvoir t'expliquer
Aucun mot ne vient
Je me décide et puis je remets
Toujours à demain

Femme que j'aime, c'est ta ta ta ta
Femme que j'aime, mais ce n'est pas toi
Femme que j'aime, c'est ta ta ta ta
Femme que j'aime, mais ce n'est pas toi

Et ce que toi tu prends
Pour une chanson
Qui te plaît bien
C'est un aveu
Tourné à ma façon
Mais tu n'y comprends rien

Femme que j'aime, c'est ta ta ta ta
Femme que j'aime, mais ce n'est pas toi
Femme que j'aime, c'est ta ta ta ta
Femme que j'aime, mais ce n'est pas toi
Femme que j'aime, c'est ta ta ta ta
Femme que j'aime, mais ce n'est pas toi
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
Nous nous engageons à en retirer l'affichage en cas de demande de leur part.
 

Commentaires

Voir tous les commentaires

1 commentaire
Trocol Harum Le 14/12/2019 à 09:20
Le titre a été adapté en italien sous l'intitulé "la ragazza ta ta ta" par Michel Polnareff et par I Quelli.
La version française a été reprise par Didier barbelivien.

Il faut être identifié pour ajouter un commentaire !