Les cookies nous permettent de personnaliser le contenu du site, les annonces publicitaires et d'analyser notre trafic.
Nous partageons également des informations avec nos partenaires, de publicité ou d'analyse
mais aucune de vos données personnelles (e-mail, login).
Présentation : Extrait de l'album du même nom. Après les relatifs échecs des albums Turbo et Ram it down, le "Priest" revient avec un album sans concession. Empruntant à ses morceaux rapides des années 70 tout en s'inspirant des techniques modernes de l'époque, l'album est vu comme un disque fondateur du speed metal et il influença fortement les groupes européens de power metal comme Gamma Ray et Primal Fear.
Hélas, Rob Halford, le chanteur, quittera le groupe après la tournée mondiale mais reviendra au début des années 2000 devant l'insistance des fans.
Le Painkiller (que l'on peut traduire, dans le contexte par "le tueur de vices", la traduction littérale étant analgésique ou calmant) fait partie d'une série de héros créés par Judas Priest. Le Painkiller est décrit comme un messie de métal envoyé sur Terre pour détruire les démons et sauver l'humanité de la destruction. Le Painkiller est inspiré par l'ange déchu de la pochette de l'album Sad Wings of Destiny que Judas Priest a enregistré à ses débuts.
Le trait le plus marquant du Painkiller, en plus de son corps de métal, est qu'il conduit le "metal monster", une moto avec un dragon en tant que châssis et deux scies circulaires à la place des roues.
Enfin, l'album a été enregistré au studio Miraval, à Brignoles, en France, au début des années 1990 et s'est vendu a plus de deux millions d'exemplaires.
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
Nous nous engageons à en retirer l'affichage en cas de demande de leur part.
Commentaires
Voir tous les commentaires
2 commentaires
MoiChainLe 30/06/2020 à 15:14
C'est Didier Bourdon sur la pochette ?
Snark HunterLe 01/10/2020 à 15:26
A noter sur ce morceau (et sur l'album - et les suivants) : la frappe puissante et le jeu rapide de Scott Travis (ex. "Racer X" à l'époque), qui est sans doute très influencé par celui de Tommy Aldridge (la double grosse caisse y est très sollicitée et particulièrement véloce).
Il faut être identifié pour ajouter un commentaire !
C'est Didier Bourdon sur la pochette ?
A noter sur ce morceau (et sur l'album - et les suivants) : la frappe puissante et le jeu rapide de Scott Travis (ex. "Racer X" à l'époque), qui est sans doute très influencé par celui de Tommy Aldridge (la double grosse caisse y est très sollicitée et particulièrement véloce).
Il faut être identifié pour ajouter un commentaire !