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Comme elle est laide, comme elle est laide
C'est ce que les envieux disaient
En voyant passer une grosse dame
Volant sur son vélocipède
Au-dessus des murs et des haies
Ignorant le macadam
Lâchant son guidon de coureur
Elle se roule une grosse cigarette
Aplatit aux extrémités
Enfonce sa casquette sur la tête
Effraie deux ou trois aviateurs
Crache quatre fois sur le clocher
Puis d'un coup de mollet nerveux
Lâchant les freins, elle dévale
Tombe en piquet sur l'hôpital
D'où je l'appelle de tous mes vœux
Et pulvérise mes persiennes
Pour ma piqûre quotidienne
Transcripteur : Dam-Dam
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
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Commentaires
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2 commentaires
Dam-DamLe 30/11/2014 à 20:53
Les paroles : (Merci !)
Claude BukowskiLe 27/12/2014 à 21:38
"Face aux éléments déchaînés" est le dernier des albums studios d'EFL, et également le plus sage de tous ! Les morceaux y ont une durée "normale" (3 à 4 minutes) et sont assez facilement abordables pour une oreille non préparée.
Leurs albums précédents étaient beaucoup plus avant-gardistes, faisant souvent penser aux expérimentations de Frank Zappa ; qui plus est leurs morceaux pouvaient être fort longs (ainsi dans l'album "Batelages" de 1977, le titre "L'amulette et le petit rabbin" dure pas moins de 18 minutes !).
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Les paroles : (Merci !)
"Face aux éléments déchaînés" est le dernier des albums studios d'EFL, et également le plus sage de tous ! Les morceaux y ont une durée "normale" (3 à 4 minutes) et sont assez facilement abordables pour une oreille non préparée.
Leurs albums précédents étaient beaucoup plus avant-gardistes, faisant souvent penser aux expérimentations de Frank Zappa ; qui plus est leurs morceaux pouvaient être fort longs (ainsi dans l'album "Batelages" de 1977, le titre "L'amulette et le petit rabbin" dure pas moins de 18 minutes !).
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