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Il portait des coulottes, des bottes de moto
Oune blouson de cuir noir avec un aigle sur le dos
Sa moto qui partait comme un boulet de canonn
Semait la terreur dans toute la jégion
Y en mi corazon
Yamais il ne se coiffait, yamais il ne se lavait
Les ongles pleins de cambouis mais sur les biceps il avait
Un tatouaje avec un cœur bleu sur la peau blême
Et juste à l´intérieur, on lisait : « Mama, yo te quiero »
Il avait une petite amie que se llama de Marie-Lou
On la prenait en pitié, une enfant de son âge
Car tout le monde savait bien qu´il aimait entre tout
Sa chienne de moto bien davantage
refrain
Marie-Lou la pobrecita chaica l´implora, le supplia
Lui dit : « Ne pars pas ce soir, je vais pleurer si tu t´en vas »
Mais les mots furent perdus, ses larmes pareillement
Dans le bruit de la machina et du tuyau d´échappement
Il bondit comme un diablo avec des flammes dans les yeux
Au passage à niveau, ce fut comme un éclair de feu
Contre une locomotive qui filait vers le midi
Et quand on débarrassa les débris
On trouva sa culotte, ses bottes de moto
Son blouson de cuir noir avec un aigle sur le dos
Ma nada de la machina, et nada de ce démon
Qui semait la terreur dans toute la région
Y en mi corazon
Parlamem
Parlamem occasion
Transcripteur : hre mgþýe
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Commentaires
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1 commentaire
Gozette et GogoLe 18/03/2015 à 22:49
Depuis près de deux ans que ce titre figure ici, je brûle de faire mon coming-out, mais je n'ose jamais. La diffusion de ce soir, à l'initiative de Monsieur Claude Bukowski, me pousse enfin à le faire : bien que grand amateur de chanson française, et en particulier de celle des années 50, je n'ai jamais pu piffer les chansons interprétées par Piaf. Voilà, c'est fait, c'est dit, et ça soulage. Merci Juliette pour ce fou-rire !
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Depuis près de deux ans que ce titre figure ici, je brûle de faire mon coming-out, mais je n'ose jamais. La diffusion de ce soir, à l'initiative de Monsieur Claude Bukowski, me pousse enfin à le faire : bien que grand amateur de chanson française, et en particulier de celle des années 50, je n'ai jamais pu piffer les chansons interprétées par Piaf. Voilà, c'est fait, c'est dit, et ça soulage. Merci Juliette pour ce fou-rire !
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