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En quittant mon village j'ai perdu la grande Margot
Et tous les avantages qu'elle m'offrait sans dire un mot
Je le revois encore en criant derrière mes pas
Mon amour, mon folklore, je t'en prie ne t'en va pas
Jules, souviens-toè de nos câlins
Jules, au creux de la meule de foin
Jules, rin ne vaut un clair matin
Jules, parfumé au bon crottin
À présent dans la ville, comme j'ai l'air d'un paysan
Je suis jamais tranquille on se fout de mon accent
Je me revois sans trêve une bèche entre les mains
Quand je plantais les rêves qui devaient faire ce refrain
refrain
Enfin mon cœur proclame que Margot avait raison
Jetant mon vague à l'âme je reprends le baluchon
C'est la fin du voyage et la mort d'une illusion
Je retourne au village, sur les lèvres une chanson
refrain ad lib
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Des paroles toujours pas hautes mais pas si lourdes de la part de Frédéric Lecoutre : [merci !]
Le bonheur est dans le pré ! Je me souviens de certains câlins près d'une meule de foin…
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