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Présentation : Morceau final du premier album de Jacques Higelin, on peut supposer que cette chanson, enregistrée en 1968-1969 parle de la mort de Françoise Dorléac dans des circonstances proches le 26 juin 1967.
Je mourrai dans une voiture carbonisée. La portière ne voudra pas s'ouvrir, et je hurlerai. Tu apprendras ma mort, atroce, par un ami, par les journaux ou par la poste.
Alors…
Alors tu t'souviendras, que nous avons fait l'amour, remember, que je pleurais de plaisir, et que ma peau, était douce et vivante à la paume de tes mains.
Alors…
Alors tu voudras recommencer, tu auras une envie folle, immédiate, de recommencer, et tu sauras de quoi je parles, en ce moment précis.
Alors …
Transcripteur : hre mgþye
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
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Commentaires
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5 commentaires
hre mgbyeLe 20/01/2013 à 20:30
Un des premiers 45 tours de Higelin, et un choix euh, courageux pour se faire connaître du grand public. Ah on savait rigoler, en ce temps là. Sur le même album, il y a « Six pieds en l'air », qui narre des réflexions d'un pendu durant sa longue agonie, et sur le suivant « Je suis mort, qui qui dit mieux » qui donne le point de vue d'un cadavre depuis sa tombe. Bizarrement, en vieillissant, il est devenu plus léger.
C'est le final de son premier album « solo », enfin en duo avec son pote Areski, qui deviendra bientôt le compagnon musical et plus si affinités de Brigitte Fontaine, autre amie d'Higelin, avec lequel Higelin avait déjà partagé un album chez Saravah. Curieusement, sur ce 45 tours, le nom d'Areski n'apparaît nulle part alors qu'on l'entend durant tout le morceau. Mais Areski semble avoir un côté « homme de l'ombre » qui n'aime pas trop se mettre en avant.
garrigouLe 31/01/2013 à 23:48
ah oui la belle époque ou il vivait dans une communauté quelquepart du coté de forcalquier…
toutes les chansons de cette époque ont la saveur si particulière des années 70
Claude BukowskiLe 03/02/2013 à 21:52
Tiens, sinon je viens d'avoir un flash. Je me demande si Thiéfaine ne se serait pas un peu inspiré de cette chanson pour son œuvre "De l'amour, de l'art ou du cochon" ; certaines similitudes sont frappantes.
Écoute-moi, écoute-moi mon amour
Je claquerai connement
La tête coincée dans un strapontin
Ce sera pendant l'été de 1515
Sur l'aéroport de Marignane
Je claquerai vraiment connement…
kaptain_kirkLe 17/02/2013 à 13:03
C'est vrai que le sujet est glauque et limite dérangeant. La musique est minimaliste, et le texte prend toute sa force.
Jacquot a fait plus rigolo depuis, tant en chanson(s) qu'au cinoche, et c'est tant mieux.
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Un des premiers 45 tours de Higelin, et un choix euh, courageux pour se faire connaître du grand public. Ah on savait rigoler, en ce temps là. Sur le même album, il y a « Six pieds en l'air », qui narre des réflexions d'un pendu durant sa longue agonie, et sur le suivant « Je suis mort, qui qui dit mieux » qui donne le point de vue d'un cadavre depuis sa tombe. Bizarrement, en vieillissant, il est devenu plus léger.
C'est le final de son premier album « solo », enfin en duo avec son pote Areski, qui deviendra bientôt le compagnon musical et plus si affinités de Brigitte Fontaine, autre amie d'Higelin, avec lequel Higelin avait déjà partagé un album chez Saravah. Curieusement, sur ce 45 tours, le nom d'Areski n'apparaît nulle part alors qu'on l'entend durant tout le morceau. Mais Areski semble avoir un côté « homme de l'ombre » qui n'aime pas trop se mettre en avant.
Ce titre est évoqué dans Le film de Polanski d'Yves Simon.
ah oui la belle époque ou il vivait dans une communauté quelquepart du coté de forcalquier…
toutes les chansons de cette époque ont la saveur si particulière des années 70
Tiens, sinon je viens d'avoir un flash. Je me demande si Thiéfaine ne se serait pas un peu inspiré de cette chanson pour son œuvre "De l'amour, de l'art ou du cochon" ; certaines similitudes sont frappantes.
Écoute-moi, écoute-moi mon amour
Je claquerai connement
La tête coincée dans un strapontin
Ce sera pendant l'été de 1515
Sur l'aéroport de Marignane
Je claquerai vraiment connement…
C'est vrai que le sujet est glauque et limite dérangeant. La musique est minimaliste, et le texte prend toute sa force.
Jacquot a fait plus rigolo depuis, tant en chanson(s) qu'au cinoche, et c'est tant mieux.
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