Dam-Dam Le 18/05/2008 à 22:53
Premier 45t de ce groupe bordelais :
http://euthanasie.records.free.fr/discographie/p01…
http://www.45toursderockfrancais.net/rockfrancais/…

milou-milou Le 05/10/2008 à 19:19
lu sur : http://www.bordeauxrock.com/artistes/77-87/cd2/tak… :

Les " petites flutes de bambou " sont nés aux environs des années 80 composés de : Vanessa au chant, Jean-louis à la guitare, Jean-michel à la basse et Bruno au clavier et chant.
La seule fille du groupe fit ses premières armes au cinéma grâce à Polanski dans " le locataire ", puis dans le mannequinat et la photo de mode et vint enfin à la musique grâce à Gainsbourg. Les menbres du groupe se rencontrèrent à Bordeaux et firent grâce à leur rock électronique et leur talent un premier disque " Elle à Tokyo " qui rencontra un succès important.
TAKENOKO n'est pas né sous le signe des concepts fumeux, mais si l'on voulait en quelques mots décrire les aspirations et les inspirations du groupe, on pourrait les qualifier d'éclectiques et d'internationales ; éclectique car le groupe utilisait aussi bien la guitare basse que l'électronique et était ouvert à toutes les influences ; international car il avait l'intention d'avoir une audience…, qu'ils obtinrent rapidement.

J'en déduis que la Vanessa est Vanessa Vaylord (ou Vaylor) ( qui aurait joué aussi dans des films érotiques, dans des Max Pecas et des caméras cachées)
Jean Louis est Jean-Louis Simonet à la guitare électrique et aux claviers
Jean-Michel est Jean-Michel Louisor à la basse
Par contre sur le site de la bnf je vois Bruno Aujard au chant et aux claviers.

morphee Le 15/02/2009 à 01:26
Je viens de voir "Sans soleil" de Chris Marker et on y voit une scène très intéressante : Takenoko ne signifie pas seulement "bambou", c'est aussi un mouvement très original au Japon du début des années 80, précurseur de la techno, voire de la tektonik. On y voit des jeunes filles en habits très colorés, avec un leader chorégraphique masculin -qui est le seul homme du groupe, faire une danse robotisée sur une musique proto-électro. Apparemment ils se prenaient aussi pour des extra-terrestres et portaient des plaques d'identification, selon le film.