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Spandau Ballet

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ses disques

Discographie :

On peut entendre sur Bide&Musique…
par années de sortie | par ordre alphabétique
Dans les programmes spéciaux Vignette de Spandau Ballet - True 1983 True
Dans les programmes spéciaux Vignette de Spandau Ballet - Only when you leave 1984 Only when you leave
Dans les programmes spéciaux Vignette de Spandau Ballet - Through the barricades 1986 Through the barricades
Vert Dans la programmation générale Orange Dans les programmes spéciaux Rouge Hors classement Bleu Émissions ou titres (très) spéciaux

Commentaires sur Spandau Ballet

6 commentaires (dont 2 archivés)
feeric Le 31/10/2004 à 18:52
L'ancêtre des Boys band ? Bon, ils valent mieux que ça, c'est sur. Ils chantaient quoi déjà ? J'ai un "true" de mémoire… ;c) Site officiel
Rudolph Le 01/11/2004 à 02:57
On peut rajouter " to cut a long story short ", ce que j'ai dansé sur celle-la !
goudurisk Le 03/11/2004 à 14:54
« Les nouveaux romantiques sont là »

C'était le titre le plus fréquent utilisés par les journaux anglais de 1979. Ce fut une année de chambardement pour la scène musicale britannique. A cette époque là, l'industrie musicale anglaise regroupait une myriade de styles et de genres. […]

Le Néoromantisme développé par aversion à la « philosophie » Punk utilisait la musique comme un exutoire plutôt que comme plate-forme socio-politique. Une autre différence majeure entre les deux genres musicaux était le « look » adopté par les adeptes et les fans.
L'apparence minable et débraillée punk-rock reflétait les attitudes nihilistes et anarchistes courantes dans le mouvement Punk comme moyen d'expression sociale. A l'opposé, les Néoromantiques (également connus comme Blitzkids) accordaient une attention toute particulière à leur apparence, ne négligeant pas le moindre détail. On les identifiait à vue d'œil dans les rues de Londres avec leurs tenues d'inspiration victorienne et leurs coiffures les plus incroyables

A la vue de ces différences remarquables entre Punk et Néoromantiques, on est surpris de constater que ces deux mouvement sont issus des mêmes racines ; tous deux sont de purs produits de la classe ouvrière. C'est précisément dans un de ces quartiers ouvriers de Londres que cinq copains de classe décidèrent de former un groupe qui, avec Duran Duran, Classic Nouveaux et Visage, deviendrait l'un des pionniers de l'élan donné à cette « nouvelle vague » du romantisme. Ils se feraient appeler à travers le monde Spandau Ballet.

Deux ans auparavant, Gary Kemp, Tony Hadley, Steve Norman, John Keeble ainsi Richard Miller, un de leurs amis, avaient déjà formé les Makers. Ce groupe jouait le plus souvent pour le public de bars enfumés du East-End. Quoi qu'il en soit, après un bref séjour à Berlin, le groupe donna vie à un rejeton et Spandau Ballet était né ! Les formation fondatrice du groupe demeura intact mis à part un petit changement. Martin Kemp, le frère de Gary, pris la relève de Richard Miller. Le nom du groupe se rapportait à une inscription sur un mur relevée près de la prison de Spandau, à Berlin.

A l'automne 1979, le mouvement néoromantique donnait sa pleine mesure. La seule chose faisant défaut à ce stade était un groupe agissant comme porte-parole de cette « new wave ». Aussi un studio fut-il loué le 17 novembre pour dévoiler à cinquante témoins adeptes du néoromantisme le nouveau Spandau Ballet. Le premier concert fut un franc succès. De ce jour là le groupe entama la tournée des clubs les plus tendances et huppés de Londres

« Spandau Ballet fit ses débuts dans un environnement extrêmement soucieux de la mode relative à la scène Club et à l'atttitude générale » dit Gary Kemp. Poursuivant : «  Nous n'avons jamais eu l'intention de créer une façade pour le groupe, nous sommes tels quels. »
Le concert le plus remarquable de Spandau Ballet fut celui donné sur le paquebot brtinnaique HMS Belfast, ancré non loin de la Tour de Londres.
L'industrie du disque était en effervescence à ce moment là et tous les regards convergeaient vers l'orientation que prenaient les groupes. Les contrats et proposition de disques commencèrent à pleuvoir chez le manager du groupe, Steve Dagger. Une de ces offres émanait de Chris Blackwell chez Island Records. La réponse fut des plus surprenante : Spandau Ballet ne désirait pas signer un contrat qui mettrait en péril leur identité et leur autonomie, arguant du fait qu'au-delà du groupe lui-même, leur staff(y compris les stylistes et toutes les sources créatives) feraient du coup partie de la négociation. Ils réclamaient en outre un contrôle total et complet de toutes les activités connexes du groupe, incluant les droits sur le graphisme, le style et l'identité visuelle.

Finalement, en octobre 1980 Spandau Ballet signa chez Chrisalis.

Beaucoup plus d'infos sont disponbible sur ce lien
Founet Le 10/03/2005 à 14:13
La première que j'ai entendu le nom de Spandau Ballet, j'ai tout d'abord pensé à un ustensile comme un Spir 2000. Et puis, j'ai compris que ce nom était celui d'un groupe singulier avec à sa tête un beau ténébreux dont les éclats de voix me font penser à tonton Hubert lorsqu'il a des hémorroïdes.

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